[article]
Titre : |
Evaluer des élèves sourds en histoire-géographie: une exigence complexe |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Annie Carcaillon, Auteur ; Fabrice Bertin, Auteur |
Année de publication : |
2006 |
Article en page(s) : |
111-124 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Surdité
|
Mots-clés : |
conceptualisation sourd évaluation histoire-géographie |
Résumé : |
Évaluer les élèves sourds en classe d’histoire-géographie soulève des interrogations spécifiques. Au-delà de la difficulté même d’évaluer, il convient d’intégrer à sa pratique un ensemble de paramètres propres à ce public d’élèves : dans quelle mesure évaluer un savoir, un savoir-faire en histoire-géographie sans évaluer dans le même temps la maîtrise de la langue française écrite ? Non que celle-ci soit à évacuer bien entendu, mais ce n’est pas en soi l’objet de l’évaluation… Une interprétation des consignes en langue des signes française est-elle une réponse suffisante ? Comment tenir compte de la surcharge cognitive ? Le tiers-temps est-il une réponse adéquate ? Cette contribution s’inscrit dans un cadre pédagogique et n’a pas pour objet l’évaluation physiologique (restes auditifs, oralisation, etc.). |
in La nouvelle revue de l'adaptation et de la scolarisation > N°32 (Janvier 2006) . - 111-124
[article] Evaluer des élèves sourds en histoire-géographie: une exigence complexe [texte imprimé] / Annie Carcaillon, Auteur ; Fabrice Bertin, Auteur . - 2006 . - 111-124. Langues : Français ( fre) in La nouvelle revue de l'adaptation et de la scolarisation > N°32 (Janvier 2006) . - 111-124
Catégories : |
Surdité
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Mots-clés : |
conceptualisation sourd évaluation histoire-géographie |
Résumé : |
Évaluer les élèves sourds en classe d’histoire-géographie soulève des interrogations spécifiques. Au-delà de la difficulté même d’évaluer, il convient d’intégrer à sa pratique un ensemble de paramètres propres à ce public d’élèves : dans quelle mesure évaluer un savoir, un savoir-faire en histoire-géographie sans évaluer dans le même temps la maîtrise de la langue française écrite ? Non que celle-ci soit à évacuer bien entendu, mais ce n’est pas en soi l’objet de l’évaluation… Une interprétation des consignes en langue des signes française est-elle une réponse suffisante ? Comment tenir compte de la surcharge cognitive ? Le tiers-temps est-il une réponse adéquate ? Cette contribution s’inscrit dans un cadre pédagogique et n’a pas pour objet l’évaluation physiologique (restes auditifs, oralisation, etc.). |
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