Titre : |
Essai sur le mal |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean Nabert (1881-1960), Auteur |
Mention d'édition : |
[Nouvelle édition] |
Editeur : |
Paris : Aubier |
Année de publication : |
impr. 1970, cop. 1970 |
Autre Editeur : |
Éd. Montaigne |
Collection : |
Présence et pensée num. 18 |
Importance : |
1 vol. (188 p.) |
Format : |
20 cm |
Prix : |
18 F |
Catégories : |
renvois:Roman
|
Index. décimale : |
800 Littérature (Belles lettres) |
Résumé : |
L'Essai sur le mal introduit une autre manière de philosopher. Si la réflexion prend d'emblée l'allure d'une méditation sur le mal, sur l'injustifiable, c'est que l'auteur est convaincu qu'il n'y a pas de " salut par la connaissance ", qu'il n'y a pas de heu privilégié d'où le philosophe, qui contemplerait de haut la condition de l'homme en découvrant son essence, serait en mesure de révéler au sujet concret de l'expérience la vérité de ce qui existe. Il ne va vers le vrai qu'en payant de sa personne. Par une réflexion immanente à l'expérience, il se livre tout entier aux questions qu'elle fait surgir. Jean Nabert n'est pas un philosophe du commentaire indéfini de l' " errance " ou de la finitude. Il veut une réponse. |
Essai sur le mal [texte imprimé] / Jean Nabert (1881-1960), Auteur . - [Nouvelle édition] . - Paris : Aubier : [S.l.] : Éd. Montaigne, impr. 1970, cop. 1970 . - 1 vol. (188 p.) ; 20 cm. - ( Présence et pensée; 18) . 18 F
Catégories : |
renvois:Roman
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Index. décimale : |
800 Littérature (Belles lettres) |
Résumé : |
L'Essai sur le mal introduit une autre manière de philosopher. Si la réflexion prend d'emblée l'allure d'une méditation sur le mal, sur l'injustifiable, c'est que l'auteur est convaincu qu'il n'y a pas de " salut par la connaissance ", qu'il n'y a pas de heu privilégié d'où le philosophe, qui contemplerait de haut la condition de l'homme en découvrant son essence, serait en mesure de révéler au sujet concret de l'expérience la vérité de ce qui existe. Il ne va vers le vrai qu'en payant de sa personne. Par une réflexion immanente à l'expérience, il se livre tout entier aux questions qu'elle fait surgir. Jean Nabert n'est pas un philosophe du commentaire indéfini de l' " errance " ou de la finitude. Il veut une réponse. |
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