Titre : |
Thérèse Desqueyroux |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
François Mauriac (1885-1970), Auteur |
Editeur : |
Bernard Grasset |
Année de publication : |
1955 |
Collection : |
Le livre de poche, ISSN 0248-3653 |
Importance : |
191 p. |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
renvois:Roman
|
Index. décimale : |
R Romans |
Résumé : |
Thérèse Desqueyroux-Laroque, propriétaire landaise, sort du tribunal accompagnée par son avocat et par son père. Accusée d'avoir tenté d'empoisonner son mari, elle vient de bénéficier d'un non-lieu, grace au témoignage de celui-ci, qui la disculpe. Mais elle est coupable et tous le savent. Thérèse procède à une longue introspection, et cherche à élaborer une confession, sa confession, celle qu'elle fera à son mari en arrivant. Commence alors un monologue intérieur où l'on apprend beaucoup des sentiments de Thérèse : sa sensation d'etouffement, ce dégout de son mari, de la sacro-sainte Famille dont elle a pourtant voulu faire partie en épousant Bernard, son horreur de la maternité, son ennui, le "néant de sa vie". Mais de retour à Argelouse, elle ne peut faire entendre sa confession à son mari. Celui-ci la cloitre dans sa chambre, la coupe du monde afin de préserver l'honneur de son nom et de sa famille. Thérèse se laisse aller à la déchéance physique. |
Thérèse Desqueyroux [texte imprimé] / François Mauriac (1885-1970), Auteur . - Bernard Grasset, 1955 . - 191 p.. - ( Le livre de poche, ISSN 0248-3653) . Langues : Français ( fre)
Catégories : |
renvois:Roman
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Index. décimale : |
R Romans |
Résumé : |
Thérèse Desqueyroux-Laroque, propriétaire landaise, sort du tribunal accompagnée par son avocat et par son père. Accusée d'avoir tenté d'empoisonner son mari, elle vient de bénéficier d'un non-lieu, grace au témoignage de celui-ci, qui la disculpe. Mais elle est coupable et tous le savent. Thérèse procède à une longue introspection, et cherche à élaborer une confession, sa confession, celle qu'elle fera à son mari en arrivant. Commence alors un monologue intérieur où l'on apprend beaucoup des sentiments de Thérèse : sa sensation d'etouffement, ce dégout de son mari, de la sacro-sainte Famille dont elle a pourtant voulu faire partie en épousant Bernard, son horreur de la maternité, son ennui, le "néant de sa vie". Mais de retour à Argelouse, elle ne peut faire entendre sa confession à son mari. Celui-ci la cloitre dans sa chambre, la coupe du monde afin de préserver l'honneur de son nom et de sa famille. Thérèse se laisse aller à la déchéance physique. |
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