Titre : |
Vingt mille lieues sous les mers |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jules Verne (1828-1905), Auteur ; Bernard Noël (1930-....), Adaptateur ; Édouard Riou (1838-1900), Illustrateur |
Editeur : |
Paris : L'Ecole des loisirs |
Année de publication : |
1993 |
Collection : |
Les Classiques abrégés de l'Ecole des loisirs., ISSN 0753-826X |
Importance : |
123 p. |
ISBN/ISSN/EAN : |
2-211-04510-3 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Littérature jeunesse
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Index. décimale : |
R Romans |
Résumé : |
L'imagination invente le futur, c'est-à-dire qu'elle le découvre.
L'imagination n'est donc pas la paresseuse, la rêveuse : elle développe, elle prévoit, elle adapte, elle transforme, elle crée.. De tout cela, l'œuvre de Jules Verne est la preuve, et sans doute est-ce la raison qui fait qu'elle est la plus lue dans le monde, après la Bible : elle est la Bible de l'imaginaire, et notre monde en étale les prophéties réalisées. Toutefois, ce ne sont point ces vérifications qui nous portent vers Jules Verne, mais le mouvement, chez lui, d'une écriture qui alimente inépuisablement son imagination et l'amène, par la seule accumulation des mots, à inventer sans cesse.
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Vingt mille lieues sous les mers [texte imprimé] / Jules Verne (1828-1905), Auteur ; Bernard Noël (1930-....), Adaptateur ; Édouard Riou (1838-1900), Illustrateur . - Paris : L'Ecole des loisirs, 1993 . - 123 p.. - ( Les Classiques abrégés de l'Ecole des loisirs., ISSN 0753-826X) . ISBN : 2-211-04510-3 Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Littérature jeunesse
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Index. décimale : |
R Romans |
Résumé : |
L'imagination invente le futur, c'est-à-dire qu'elle le découvre.
L'imagination n'est donc pas la paresseuse, la rêveuse : elle développe, elle prévoit, elle adapte, elle transforme, elle crée.. De tout cela, l'œuvre de Jules Verne est la preuve, et sans doute est-ce la raison qui fait qu'elle est la plus lue dans le monde, après la Bible : elle est la Bible de l'imaginaire, et notre monde en étale les prophéties réalisées. Toutefois, ce ne sont point ces vérifications qui nous portent vers Jules Verne, mais le mouvement, chez lui, d'une écriture qui alimente inépuisablement son imagination et l'amène, par la seule accumulation des mots, à inventer sans cesse.
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