Titre :	La chasse au nègre [de face]
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Martin, Félix (1844-1916), Sculpteur
Année de publication :	1873
Note générale :	Photographie en noir et blanc d'une sculpture en marbre de Félix Martin. Elle représente un homme noir en train de se faire mordre par un chien au niveau de la jugulaire. Elle est conservée au musée d'Evreux et date de 1873. Sur son socle, elle porte une étiquette avec le numéro 480. La photographie semble être prise au sein du musée universel des sourds-muets de l'INJS. On la voit d'ailleurs dans une photographie d'archive du musée à droite de la table centrale. On retrouve sa mention p. 57 dans le catalogue du musée universel des sourds-muets de 1897 au n° d'inventaire 1938.
Langues :	Français (fre)
Catégories :	Institut national de jeunes sourds Musée
Mots-clés :	Musée  Théophile  Denis  Sculpture  Marbre
Résumé :	Lien vers une vidéo concernant la sculpture : https://www.dailymotion.com/video/x3xjool
En ligne :	https://www.roubaix-lapiscine.com/collections/sculptures/charles-marie-felix-mar [...]
Format de la ressource électronique :	Site officiel du musée de la Piscine de Roubaix

La chasse au nègre [de face] [document graphique à deux dimensions] / Martin, Félix (1844-1916), Sculpteur . - 1873.
Photographie en noir et blanc d'une sculpture en marbre de Félix Martin. Elle représente un homme noir en train de se faire mordre par un chien au niveau de la jugulaire. Elle est conservée au musée d'Evreux et date de 1873. Sur son socle, elle porte une étiquette avec le numéro 480. La photographie semble être prise au sein du musée universel des sourds-muets de l'INJS. On la voit d'ailleurs dans une photographie d'archive du musée à droite de la table centrale. On retrouve sa mention p. 57 dans le catalogue du musée universel des sourds-muets de 1897 au n° d'inventaire 1938.
Langues : Français (fre)

Catégories :	Institut national de jeunes sourds Musée
Mots-clés :	Musée  Théophile  Denis  Sculpture  Marbre
Résumé :	Lien vers une vidéo concernant la sculpture : https://www.dailymotion.com/video/x3xjool
En ligne :	https://www.roubaix-lapiscine.com/collections/sculptures/charles-marie-felix-mar [...]
Format de la ressource électronique :	Site officiel du musée de la Piscine de Roubaix

Titre :	Un volontaire de 1792 : (Erigé à Remiremont - Vosges)
Titre original :	Le Vainqueur de la Bastille
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Paul-François Choppin (1856-1937), Sculpteur
Présentation :	Noir et blanc
Format :	16,9 x 11 cm
Note générale :	Sculpture en pied d'un volontaire partant au combat. Il porte le tricorne, une simple chemise surmontée d'une veste, un pantalon s'arrêtant aux genoux, des bas et de courts souliers. Il lève le bras droit et de sa main gauche il tient un fusil. Il semble héler des camarades et les enjoindre de se rallier aux troupes. Dans la photographie que nous possédons de l'accrochage de l'Exposition des artistes sourds de 1912, on ne distingue pas cette sculpture, cependant, nous sommes persuadés qu'au fond de la salle, à gauche du groupe sculpté du "Triomphe de la Vérité" de Fernand Hamar, se trouve un portrait sculpté (sûrement en bronze) tiré de cette sculpture en pied. Notice exemplaire du catalogue du Musée universel des sourds-muets : 1759 On sait que cette base a servi pour une autre sculpture en bronze d'apparence très proche. La principale différence est que dans cette version, le jeune homme ne porte pas de chapeau. Elle était en place au Square Parmentier à Paris avant d'être fondue. Nous mettons en image complémentaire le plâtre qui est restée de cette sculpture.
Catégories :	Arts Musée
Mots-clés :	Musée  Théophile  Denis  Sculpture  Soldat
Note de contenu :	source : https://e-monumen.net/patrimoine-monumental/un-vainqueur-de-la-bastille-ou-le-volontaire-de-1792-paris-10e-arr/

Un volontaire de 1792 = Le Vainqueur de la Bastille : (Erigé à Remiremont - Vosges) [document graphique à deux dimensions] / Paul-François Choppin (1856-1937), Sculpteur . - [s.d.] . -  : Noir et blanc ; 16,9 x 11 cm.
Sculpture en pied d'un volontaire partant au combat. Il porte le tricorne, une simple chemise surmontée d'une veste, un pantalon s'arrêtant aux genoux, des bas et de courts souliers. Il lève le bras droit et de sa main gauche il tient un fusil. Il semble héler des camarades et les enjoindre de se rallier aux troupes. Dans la photographie que nous possédons de l'accrochage de l'Exposition des artistes sourds de 1912, on ne distingue pas cette sculpture, cependant, nous sommes persuadés qu'au fond de la salle, à gauche du groupe sculpté du "Triomphe de la Vérité" de Fernand Hamar, se trouve un portrait sculpté (sûrement en bronze) tiré de cette sculpture en pied.

Notice exemplaire du catalogue du Musée universel des sourds-muets : 1759

On sait que cette base a servi pour une autre sculpture en bronze d'apparence très proche. La principale différence est que dans cette version, le jeune homme ne porte pas de chapeau. Elle était en place au Square Parmentier à Paris avant d'être fondue. Nous mettons en image complémentaire le plâtre qui est restée de cette sculpture.

Catégories :	Arts Musée
Mots-clés :	Musée  Théophile  Denis  Sculpture  Soldat
Note de contenu :	source : https://e-monumen.net/patrimoine-monumental/un-vainqueur-de-la-bastille-ou-le-volontaire-de-1792-paris-10e-arr/

Titre :	Le passé : (Buste de veille femme)
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Léon Morice (1868-1934) , Auteur
Note générale :	Cette sculpture de Léon Morice représente une vieille femme les mains jointes, la mine grave, les traits tirés, portant un habit abimé. Elle est représentée suivant un style apparaissant durant la seconde moitié du XIXe siècle qu'on appelle "Le réalisme". Pour les réalistes, ce n’est plus l’occasion de représenter le statut social comme on le faisait aux XVIIe et XVIIIe siècles. La motivation première est de dépeindre la réalité. Il ne s’agit pas de montrer une personne « améliorée » mais une personne dans tout sa vérité. Par les traits du visage transparaissent les émotions et la personnalité. Il y a donc une attention toute particulière portée au regard, aux rides et aux traits forts. Le but est de représenter également les petites gens, qu'elles puissent elles aussi accéder à la sculpture en buste et être représentées sur la place publique ou lors des expositions. Auparavant on représentait de grandes personnalités ou du moins des individus reconnaissables, ici on représente des types, comme celui du "Paysan" d'Aimé Jules Dalou conservé au musée d'Orsay, c. 1899. Désormais, les arts ne se bornent plus aux scènes historiques et mythologiques mais trouvent leurs sources dans la société. C'est ce dont témoignent également en littérature Emile Zola ou Honoré de Balzac. Cette sculpture en bronze reçoit une mention honorable de la part de la Société des Artistes français et est présentée au Salon des Artistes français de 1912.
Langues :	Français (fre)
Catégories :	Arts Musée
Mots-clés :	Sculpture  Musée  Théophile  Denis  Paysan
Note de contenu :	source sur le réalisme : https://artxixesiecle.wordpress.com/tag/realisme/

Le passé : (Buste de veille femme) [document graphique à deux dimensions] / Léon Morice (1868-1934) , Auteur . - [s.d.].
Cette sculpture de Léon Morice représente une vieille femme les mains jointes, la mine grave, les traits tirés, portant un habit abimé. Elle est représentée suivant un style apparaissant durant la seconde moitié du XIXe siècle qu'on appelle "Le réalisme". Pour les réalistes, ce n’est plus l’occasion de représenter le statut social comme on le faisait aux XVIIe et XVIIIe siècles. La motivation première est de dépeindre la réalité. Il ne s’agit pas de montrer une personne « améliorée » mais une personne dans tout sa vérité. Par les traits du visage transparaissent les émotions et la personnalité. Il y a donc une attention toute particulière portée au regard, aux rides et aux traits forts. Le but est de représenter également les petites gens, qu'elles puissent elles aussi accéder à la sculpture en buste et être représentées sur la place publique ou lors des expositions. Auparavant on représentait de grandes personnalités ou du moins des individus reconnaissables, ici on représente des types, comme celui du "Paysan" d'Aimé Jules Dalou conservé au musée d'Orsay, c. 1899. Désormais, les arts ne se bornent plus aux scènes historiques et mythologiques mais trouvent leurs sources dans la société. C'est ce dont témoignent également en littérature Emile Zola ou Honoré de Balzac.
Cette sculpture en bronze reçoit une mention honorable de la part de la Société des Artistes français et est présentée au Salon des Artistes français de 1912.
Langues : Français (fre)

Catégories :	Arts Musée
Mots-clés :	Sculpture  Musée  Théophile  Denis  Paysan
Note de contenu :	source sur le réalisme : https://artxixesiecle.wordpress.com/tag/realisme/

Titre :	L'aviation : (Jeune fille volant)
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Fernand Hamar (1869-1943), Auteur
Année de publication :	1912
Présentation :	Noir et blanc
Format :	25 x 15,5 cm
Note générale :	Statuette en plâtre de Ferdinand Hamar représentant une jeune fille nue, dont la chevelure viendrait couvrir sa poitrine. Elle vole en écartant ses bras à la manière d'un avion, le corps allongé à plat ventre et soutenu par une sorte de vague ou nuage lui cachant le pubis. Il est dit dans le cartel du cliché qu'elle est exposée au Salon de 1911, on l'entrevoit également dans les clichés de l'Exposition des artistes sourds de 1912. On l'aperçoit dans la salle au fond à droite. On distingue à peine ses deux petites jambes derrière un portrait sculpté.
Langues :	Français (fre)
Catégories :	Arts Musée
Mots-clés :	Musée  Théophile  Denis  Sculpture  Plâtre  Salon  Statuette

L'aviation : (Jeune fille volant) [document graphique à deux dimensions] / Fernand Hamar (1869-1943), Auteur . - 1912 . -  : Noir et blanc ; 25 x 15,5 cm.
Statuette en plâtre de Ferdinand Hamar représentant une jeune fille nue, dont la chevelure viendrait couvrir sa poitrine. Elle vole en écartant ses bras à la manière d'un avion, le corps allongé à plat ventre et soutenu par une sorte de vague ou nuage lui cachant le pubis. Il est dit dans le cartel du cliché qu'elle est exposée au Salon de 1911, on l'entrevoit également dans les clichés de l'Exposition des artistes sourds de 1912. On l'aperçoit dans la salle au fond à droite. On distingue à peine ses deux petites jambes derrière un portrait sculpté.
Langues : Français (fre)

Catégories :	Arts Musée
Mots-clés :	Musée  Théophile  Denis  Sculpture  Plâtre  Salon  Statuette

Titre :	Buste de Mirabeau
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Deseine, Claude-André (1740-1823), Sculpteur
Année de publication :	1791
Présentation :	Noir et blanc
Format :	Divers
Note générale :	Buste en plâtre de Mirabeau (1749 - 1791) portant une perruque, une veste à gros boutons ainsi qu'un foulard noué autour du cou. La sculpture est présentée sur un piédouche. Mirabeau est un écrivain, diplomate, journaliste et homme politique français, figure de la Révolution. Surnommé « l'Orateur du peuple » et « la Torche de Provence », il reste le premier symbole de l’éloquence parlementaire en France. Bien que membre de la noblesse, il se distingue en tant que député du Tiers état aux États généraux après avoir été rejeté par l’ordre de la noblesse. Fort aimé par les révolutionnaires, son corps est transporté au Panthéon à sa mort, mais la découverte de ses relations secrètes avec la royauté retourne l'opinion, et sa dépouille est retirée du mausolée, dont il était le premier occupant.
Langues :	Français (fre)
Catégories :	Histoire Musée
Note de contenu :	source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Honor%C3%A9-Gabriel_Riqueti_de_Mirabeau
En ligne :	https://art.rmngp.fr/fr/library/artworks/claude-andre-deseine_honore-gabriel-riq [...]
Format de la ressource électronique :	Site officiel de la RMNGP

Buste de Mirabeau [document graphique à deux dimensions] / Deseine, Claude-André (1740-1823), Sculpteur . - 1791 . -  : Noir et blanc ; Divers.
Buste en plâtre de Mirabeau (1749 - 1791) portant une perruque, une veste à gros boutons ainsi qu'un foulard noué autour du cou. La sculpture est présentée sur un piédouche. Mirabeau est un écrivain, diplomate, journaliste et homme politique français, figure de la Révolution. Surnommé « l'Orateur du peuple » et « la Torche de Provence », il reste le premier symbole de l’éloquence parlementaire en France. Bien que membre de la noblesse, il se distingue en tant que député du Tiers état aux États généraux après avoir été rejeté par l’ordre de la noblesse. Fort aimé par les révolutionnaires, son corps est transporté au Panthéon à sa mort, mais la découverte de ses relations secrètes avec la royauté retourne l'opinion, et sa dépouille est retirée du mausolée, dont il était le premier occupant.

Langues : Français (fre)

Catégories :	Histoire Musée
Note de contenu :	source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Honor%C3%A9-Gabriel_Riqueti_de_Mirabeau
En ligne :	https://art.rmngp.fr/fr/library/artworks/claude-andre-deseine_honore-gabriel-riq [...]
Format de la ressource électronique :	Site officiel de la RMNGP

Titre :	Daphnis et Chloe
Titre original :	L'Elu
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Joseph Ebstein (1881-1961), Auteur
Présentation :	Noir et blanc
Format :	23,3 x 17,3 cm
Note générale :	Groupe sculpté représentant Daphnis et Chloé de Joseph Ebtein (1881 - 1961) intitulé "L'Elu" et aujourd'hui conservé au musée Vivenel de Compiègne. Sur le socle propre à la sculpture, on distingue très distinctement le titre "L'Elu" ainsi qu'un numéro d'inventaire rajouté sur une étiquette portant le numéro "3076". Enfin sur le socle rajouté, un cartel doré indique "Mention honorable" suivi du numéro 1006. A l'Exposition des artistes sourds de 1912, la sculpture en marbre ou plâtre est présente ainsi que sa miniature en bronze. Daphnis et Chloé est un épisode que Maurice Ravel mettra en musique la même année que l'exposition en donnant la première du ballet éponyme au Théâtre du Châtelet à Paris, le 8 juin 1912. Le livre "Daphnis et Chloé" ou "Les pastorales" a été écrit par Longus dit le Sophiste, un auteur grec du IIe ou IIIe siècle de notre ère pour lequel il existe que très peu d'informations. La scène se passe près de Mytilène sur l'île de Lesbos. Deux pauvres familles de cultivateurs, celle de Damon et celle de Driante, recueillent, à quelques années de distance, deux enfants abandonnés auxquels ils donnent le nom de Daphnis et de Chloé, et qu'ils élèvent pour en faire des bergers. En grandissant en âge et en sagesse, avec le retour des saisons et les paisibles événements des travaux agrestes, le pastoureau et la pastourelle tombent amoureux l'un de l'autre presque à leur insu.
Langues :	Français (fre)
Catégories :	Arts Musée
Mots-clés :	Musée  Théophile  Denis  Sculpture  Mythe

Daphnis et Chloe = L'Elu [document graphique à deux dimensions] / Joseph Ebstein (1881-1961), Auteur . - [s.d.] . -  : Noir et blanc ; 23,3 x 17,3 cm.
Groupe sculpté représentant Daphnis et Chloé de Joseph Ebtein (1881 - 1961) intitulé "L'Elu" et aujourd'hui conservé au musée Vivenel de Compiègne. Sur le socle propre à la sculpture, on distingue très distinctement le titre "L'Elu" ainsi qu'un numéro d'inventaire rajouté sur une étiquette portant le numéro "3076". Enfin sur le socle rajouté, un cartel doré indique "Mention honorable" suivi du numéro 1006. A l'Exposition des artistes sourds de 1912, la sculpture en marbre ou plâtre est présente ainsi que sa miniature en bronze.

Daphnis et Chloé est un épisode que Maurice Ravel mettra en musique la même année que l'exposition en donnant la première du ballet éponyme au Théâtre du Châtelet à Paris, le 8 juin 1912. Le livre "Daphnis et Chloé" ou "Les pastorales" a été écrit par Longus dit le Sophiste, un auteur grec du IIe ou IIIe siècle de notre ère pour lequel il existe que très peu d'informations. La scène se passe près de Mytilène sur l'île de Lesbos. Deux pauvres familles de cultivateurs, celle de Damon et celle de Driante, recueillent, à quelques années de distance, deux enfants abandonnés auxquels ils donnent le nom de Daphnis et de Chloé, et qu'ils élèvent pour en faire des bergers. En grandissant en âge et en sagesse, avec le retour des saisons et les paisibles événements des travaux agrestes, le pastoureau et la pastourelle tombent amoureux l'un de l'autre presque à leur insu.
Langues : Français (fre)

Catégories :	Arts Musée
Mots-clés :	Musée  Théophile  Denis  Sculpture  Mythe

Titre :	Le Vainqueur de la Bastille
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Paul-François Choppin (1856-1937), Sculpteur
Présentation :	Noir et blanc
Format :	34,9 x 26,7 cm
Note générale :	Sculpture en pied d'un volontaire partant au combat. Le Volontaire ou Le Vainqueur de la Bastille est un bonze érigée à Remiremont (Vosges), un autre exemplaire du bronze placé dans square Maurice Gardette (anc. square Parmentier) 11e arr. a été fondu sous l'occupation en 1942. Il porte une simple chemise surmontée d'une veste, un pantalon s'arrêtant aux genoux, des bas et de courts souliers. Il lève le bras droit et de sa main gauche il tient un fusil. Il semble héler des camarades et les enjoindre de se rallier aux troupes. Nous mettons en image complémentaire le plâtre qui est resté de cette sculpture. Cette même base a été récupérée pour une autre statue d'un Volontaire de 1792, dont le principal changement réside en l'ajout d'un tricorne. Notice exemplaire du catalogue du Musée universel des sourds-muets : 1759
Catégories :	Arts Musée
Mots-clés :	Musée  Théophile  Denis  Sculpture  Soldat
Note de contenu :	source : https://e-monumen.net/patrimoine-monumental/un-vainqueur-de-la-bastille-ou-le-volontaire-de-1792-paris-10e-arr/

Le Vainqueur de la Bastille [document graphique à deux dimensions] / Paul-François Choppin (1856-1937), Sculpteur . - [s.d.] . -  : Noir et blanc ; 34,9 x 26,7 cm.
Sculpture en pied d'un volontaire partant au combat. Le Volontaire ou Le Vainqueur de la Bastille est un bonze érigée à Remiremont (Vosges), un autre exemplaire du bronze placé dans square Maurice Gardette (anc. square Parmentier) 11e arr. a été fondu sous l'occupation en 1942. Il porte une simple chemise surmontée d'une veste, un pantalon s'arrêtant aux genoux, des bas et de courts souliers. Il lève le bras droit et de sa main gauche il tient un fusil. Il semble héler des camarades et les enjoindre de se rallier aux troupes. Nous mettons en image complémentaire le plâtre qui est resté de cette sculpture. Cette même base a été récupérée pour une autre statue d'un Volontaire de 1792, dont le principal changement réside en l'ajout d'un tricorne.

Notice exemplaire du catalogue du Musée universel des sourds-muets : 1759

Catégories :	Arts Musée
Mots-clés :	Musée  Théophile  Denis  Sculpture  Soldat
Note de contenu :	source : https://e-monumen.net/patrimoine-monumental/un-vainqueur-de-la-bastille-ou-le-volontaire-de-1792-paris-10e-arr/

Titre :	Le Fauconnier
Type de document :	objet à 3 dimensions, artefacts, ...
Auteurs :	Fernand Hamar (1869-1943), Sculpteur
Format :	L : 36 cm , H : 49cm, P.: 37cm
Note générale :	Photographies et exemplaire sculpté représentant un jeu éphèbe nu agenouillé, tenant dans sa main droite un agneau, semble-t-il dans l'optique de le donner à manger à son aigle, posé sur l'indexe de sa main gauche. Le socle a l'apparence d'un rocher sur lequel est indiqué le numéro "3160" ainsi que "Medaille 3e classe"
Catégories :	Beaux-Arts Musée
Mots-clés :	Sculpture  Faucon  Garçon  Nudité

Le Fauconnier [objet à 3 dimensions, artefacts, ...] / Fernand Hamar (1869-1943), Sculpteur . - [s.d.] . -  ; L : 36 cm , H : 49cm, P.: 37cm.
Photographies et exemplaire sculpté représentant un jeu éphèbe nu agenouillé, tenant dans sa main droite un agneau, semble-t-il dans l'optique de le donner à manger à son aigle, posé sur l'indexe de sa main gauche. Le socle a l'apparence d'un rocher sur lequel est indiqué le numéro "3160" ainsi que "Medaille 3e classe"

Catégories :	Beaux-Arts Musée
Mots-clés :	Sculpture  Faucon  Garçon  Nudité

Titre :	Cavalier Ier empire
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Félix Plessis, Auteur
Note générale :	Cette photographie en noir est blanc illustre une statuette en bronze exécutée par Félix Plessis entre 1869 et le début XXe siècle. Il est représenté un cavalier debout sur ses étriers, se retournant vers l'arrière le bras en l'air comme s'il hélait un camarade. Il tient son cheval avec des rênes courtes, lui-même lancé au triple galop. Le cheval saute au-dessus d'un canon et de sa roue brisée.
Catégories :	Histoire Musée
Mots-clés :	Cavalier  Soldat  Armée  Cheval  Guerre

Cavalier Ier empire [document graphique à deux dimensions] / Félix Plessis, Auteur . - [s.d.].
Cette photographie en noir est blanc illustre une statuette en bronze exécutée par Félix Plessis entre 1869 et le début XXe siècle. Il est représenté un cavalier debout sur ses étriers, se retournant vers l'arrière le bras en l'air comme s'il hélait un camarade. Il tient son cheval avec des rênes courtes, lui-même lancé au triple galop. Le cheval saute au-dessus d'un canon et de sa roue brisée.

Catégories :	Histoire Musée
Mots-clés :	Cavalier  Soldat  Armée  Cheval  Guerre

Titre :	Lazare Carnot
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Paul-François Choppin (1856-1937), Sculpteur
Présentation :	Noir et blanc
Format :	16,9 x 11 cm
Note générale :	Sculpture en pied de Lazare Carnot partant au combat. Il porte le tricorne, une simple chemise surmontée d'une veste, un pantalon s'arrêtant aux genoux, des bas et de hautes bottes. Il lève le bras droit en pointant une direction et de sa main gauche il tient un fusil. Un sabre est attaché à sa ceinture. Il regarde dans une direction en indiquant une autre comme s'il s'adressait à des camarades. Choppin crée une autre sculpture du même ordre. Cependant, ce dernier n'a pas de plume à son tricorne, est également moins âgé et d'un apparat plus simple. Lazare Carnot est député à l'Assemblée législative puis à la Convention nationale, membre du Comité de salut public en 1793-1794 ; son rôle dans les succès des armées françaises de la Révolution lui vaut les surnoms de « Grand Carnot » et d'« organisateur de la Victoire ». Notice exemplaire du catalogue du Musée universel des sourds-muets : 1757
Catégories :	Arts Musée
Mots-clés :	Musée  Théophile  Denis  Sculpture  Soldat
Note de contenu :	source : https://www.larousse.fr/encyclopedie/personnage/Lazare_Carnot/111811

Lazare Carnot [document graphique à deux dimensions] / Paul-François Choppin (1856-1937), Sculpteur . - [s.d.] . -  : Noir et blanc ; 16,9 x 11 cm.
Sculpture en pied de Lazare Carnot partant au combat. Il porte le tricorne, une simple chemise surmontée d'une veste, un pantalon s'arrêtant aux genoux, des bas et de hautes bottes. Il lève le bras droit en pointant une direction et de sa main gauche il tient un fusil. Un sabre est attaché à sa ceinture. Il regarde dans une direction en indiquant une autre comme s'il s'adressait à des camarades. Choppin crée une autre sculpture du même ordre. Cependant, ce dernier n'a pas de plume à son tricorne, est également moins âgé et d'un apparat plus simple. Lazare Carnot est député à l'Assemblée législative puis à la Convention nationale, membre du Comité de salut public en 1793-1794 ; son rôle dans les succès des armées françaises de la Révolution lui vaut les surnoms de « Grand Carnot » et d'« organisateur de la Victoire ».

Notice exemplaire du catalogue du Musée universel des sourds-muets : 1757

Catégories :	Arts Musée
Mots-clés :	Musée  Théophile  Denis  Sculpture  Soldat
Note de contenu :	source : https://www.larousse.fr/encyclopedie/personnage/Lazare_Carnot/111811

Titre :	Suzanne au bain
Titre original :	Suzanne et les vieillards
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Paul-François Choppin (1856-1937), Sculpteur
Présentation :	Noir et blanc
Format :	13,7 x 9,4 cm
Note générale :	Cette photographie en noir et blanc présente une sculpture en marbre de Choppin représentant une scène célèbre de l'Ancien Testament : Suzanne au bain, aussi appelée Suzanne et les vieillards. Cet épisode est raconté dans le Livre de Daniel au chapitre 13. Il raconte l'histoire de "Suzanne ou Shoshana («lys » en hébreu) fille d’Helcias, chaste et d’une grande beauté, qui a été élevée dans la crainte de Dieu, à Babylone, pendant l’Exil. Elle a pour époux Ioakim, personnage fort riche et estimé. Suzanne a l’habitude de se promener dans son jardin, vite repérée par deux anciens nommés juges cette année-là, et emplis de désir pour la jeune femme. Un jour qu’elle se trouvait seule s’apprêtant à se baigner, les deux vieillards cachés pour l’observer fondent sur elle et lui intime de céder à leurs avances. Usant d’un stratagème inique pour forcer sa résistance, ils la menacent de la dénoncer en inventant un adultère si elle n’accepte pas leur proposition malhonnête. Éperdue, Suzanne ne cède pas. Accusée par les deux vieillards, l’affaire est portée devant le peuple. L’issue est évidente : Suzanne est condamnée à mort. Alors qu’elle est conduite à son supplice et implore Dieu, un jeune enfant du nom de Daniel conteste le témoignage des vieillards et parvient à les confondre en les interrogeant séparément. Les deux hommes subirent alors le sort qu’ils avaient comploté et réservé à Suzanne." Ici, Suzanne est représentée nue, un genoux posé sur un piédestal, sur lequel est placé un tissus cachant son pubis. A ses pieds, une amphore sur laquelle est posée négligemment une serviette. Elle semble prise de surprise, son corps se replie sur lui-même, ses bras cherchant à se cacher et à fuir en même temps. Elle regarde inquiète vers son côté droit. Cette sculpture s'inscrit dans la tradition de la sculpture antique hellénistique des Venus Pudica dont le modèle le plus répandu reste l'Aphrodite pudique de Scopas, IVe siècle av. J.-C. Notice exemplaire du catalogue du Musée universel des sourds-muets : 1754
Catégories :	Arts Musée
Mots-clés :	Sculpture  Venus  Aphrodite  Suzanne  David  Ancien  Testament  Justice  Punition
Note de contenu :	source bible : https://bible.catholique.org/livre-de-daniel/4869-chapitre-13 source résumé : https://fr.aleteia.org/2018/11/10/suzanne-et-les-vieillards-un-harcelement-sexuel-denonce-par-la-bible/

Suzanne au bain = Suzanne et les vieillards [document graphique à deux dimensions] / Paul-François Choppin (1856-1937), Sculpteur . - [s.d.] . -  : Noir et blanc ; 13,7 x 9,4 cm.
Cette photographie en noir et blanc présente une sculpture en marbre de Choppin représentant une scène célèbre de l'Ancien Testament : Suzanne au bain, aussi appelée Suzanne et les vieillards. Cet épisode est raconté dans le Livre de Daniel au chapitre 13. Il raconte l'histoire de "Suzanne ou Shoshana («lys » en hébreu) fille d’Helcias, chaste et d’une grande beauté, qui a été élevée dans la crainte de Dieu, à Babylone, pendant l’Exil. Elle a pour époux Ioakim, personnage fort riche et estimé. Suzanne a l’habitude de se promener dans son jardin, vite repérée par deux anciens nommés juges cette année-là, et emplis de désir pour la jeune femme. Un jour qu’elle se trouvait seule s’apprêtant à se baigner, les deux vieillards cachés pour l’observer fondent sur elle et lui intime de céder à leurs avances. Usant d’un stratagème inique pour forcer sa résistance, ils la menacent de la dénoncer en inventant un adultère si elle n’accepte pas leur proposition malhonnête. Éperdue, Suzanne ne cède pas. Accusée par les deux vieillards, l’affaire est portée devant le peuple. L’issue est évidente : Suzanne est condamnée à mort. Alors qu’elle est conduite à son supplice et implore Dieu, un jeune enfant du nom de Daniel conteste le témoignage des vieillards et parvient à les confondre en les interrogeant séparément. Les deux hommes subirent alors le sort qu’ils avaient comploté et réservé à Suzanne."
Ici, Suzanne est représentée nue, un genoux posé sur un piédestal, sur lequel est placé un tissus cachant son pubis. A ses pieds, une amphore sur laquelle est posée négligemment une serviette. Elle semble prise de surprise, son corps se replie sur lui-même, ses bras cherchant à se cacher et à fuir en même temps. Elle regarde inquiète vers son côté droit. Cette sculpture s'inscrit dans la tradition de la sculpture antique hellénistique des Venus Pudica dont le modèle le plus répandu reste l'Aphrodite pudique de Scopas, IVe siècle av. J.-C.

Notice exemplaire du catalogue du Musée universel des sourds-muets : 1754

Catégories :	Arts Musée
Mots-clés :	Sculpture  Venus  Aphrodite  Suzanne  David  Ancien  Testament  Justice  Punition
Note de contenu :	source bible : https://bible.catholique.org/livre-de-daniel/4869-chapitre-13 source résumé : https://fr.aleteia.org/2018/11/10/suzanne-et-les-vieillards-un-harcelement-sexuel-denonce-par-la-bible/

Titre :	Le génie des arts
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Paul-François Choppin (1856-1937), Auteur
Présentation :	Noir et blanc
Format :	17,7 x 11,7 cm
Note générale :	Photographie en noir et blanc d'une sculpture en plâtre de Choppin représentant le génie des arts en plein vol tenant la couronne de laurier. Cette dernière sera posée sur la tête d'un humain qui aura su s'accomplir par les arts à un tel niveau qu'il sera récompensé des dieux. Ce jeune éphèbe ailé est présenté en nudité héroïque, un long drapé retenu au creux de son coude gauche et descendant le long de ses cuisses avant de se mêler aux nuages de la base. C'est un véritable tour de force d'arriver à jouer des différents poids du bloc de marbre en donnant ce sentiment de légèreté tout en lui garantissant une certaine stabilité. Ainsi, en plus de se valoriser sûrement lui-même en tant qu'artiste exemplaire pouvant recevoir cette couronne, Choppin montre, par ce choix de traitement iconographique, qu'il est capable de réaliser des sujets demandant une science complexe des différentes forces nécessaire à maintenir un gros volume dans l'espace. Cette sculpture aurait été présentée au Salon des artistes français de 1886, puis mise en dépôt en 1895 au musée Sainte-Croix de Poitiers où elle fut par la suite détruite lors de son transport et de son séjour dans une réserve en 1950. Notice exemplaire du catalogue du Musée universel des sourds-muets : 1753
Catégories :	Arts Musée
Mots-clés :	Sculpture  Génie  Ail  Laurier  Couronne  Récompense
Note de contenu :	source : https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/joconde/000SC023226 source : https://fr-academic.com/dic.nsf/frwiki/1304877

Le génie des arts [document graphique à deux dimensions] / Paul-François Choppin (1856-1937), Auteur . - [s.d.] . -  : Noir et blanc ; 17,7 x 11,7 cm.
Photographie en noir et blanc d'une sculpture en plâtre de Choppin représentant le génie des arts en plein vol tenant la couronne de laurier. Cette dernière sera posée sur la tête d'un humain qui aura su s'accomplir par les arts à un tel niveau qu'il sera récompensé des dieux. Ce jeune éphèbe ailé est présenté en nudité héroïque, un long drapé retenu au creux de son coude gauche et descendant le long de ses cuisses avant de se mêler aux nuages de la base. C'est un véritable tour de force d'arriver à jouer des différents poids du bloc de marbre en donnant ce sentiment de légèreté tout en lui garantissant une certaine stabilité. Ainsi, en plus de se valoriser sûrement lui-même en tant qu'artiste exemplaire pouvant recevoir cette couronne, Choppin montre, par ce choix de traitement iconographique, qu'il est capable de réaliser des sujets demandant une science complexe des différentes forces nécessaire à maintenir un gros volume dans l'espace. Cette sculpture aurait été présentée au Salon des artistes français de 1886, puis mise en dépôt en 1895 au musée Sainte-Croix de Poitiers où elle fut par la suite détruite lors de son transport et de son séjour dans une réserve en 1950.

Notice exemplaire du catalogue du Musée universel des sourds-muets : 1753

Catégories :	Arts Musée
Mots-clés :	Sculpture  Génie  Ail  Laurier  Couronne  Récompense
Note de contenu :	source : https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/joconde/000SC023226 source : https://fr-academic.com/dic.nsf/frwiki/1304877

Titre :	Sculpture de Paul Broca
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Paul-François Choppin (1856-1937), Auteur
Présentation :	Noir et blanc
Format :	Passe partout : 23,1 x 29,7 cm / Illustration : 15,6 x 22,1 cm
Note générale :	Sculpture de Paul Broca sur fond uni.
Langues :	Français (fre)
Catégories :	Arts Musée Parole Sciences
Mots-clés :	Sculpture  Publique  Science

Sculpture de Paul Broca [document graphique à deux dimensions] / Paul-François Choppin (1856-1937), Auteur . - [s.d.] . -  : Noir et blanc ; Passe partout : 23,1 x 29,7 cm / Illustration : 15,6 x 22,1 cm.
Sculpture de Paul Broca sur fond uni.
Langues : Français (fre)

Catégories :	Arts Musée Parole Sciences
Mots-clés :	Sculpture  Publique  Science

Titre :	Portrait de François-Joseph Talma
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Antoine Aubert (1783-?), Graveur
Présentation :	Mauvais état
Format :	40,5 x 26 cm
Note générale :	Gravure en noir et blanc représentant le portrait de François-Joseph Talma, acteur du Théâtre Français et pensionnaire de S.M. F. et R. fait par Aubert, peintre et graveur sourd-muet Râtelier M-1 Notice exemplaire du catalogue du Musée universel des sourds-muets : 1702
Langues :	Français (fre)

Portrait de François-Joseph Talma [document graphique à deux dimensions] / Antoine Aubert (1783-?), Graveur . - [s.d.] . -  : Mauvais état ; 40,5 x 26 cm.
Gravure en noir et blanc représentant le portrait de François-Joseph Talma, acteur du Théâtre Français et pensionnaire de S.M. F. et R. fait par Aubert, peintre et graveur sourd-muet

Râtelier M-1

Notice exemplaire du catalogue du Musée universel des sourds-muets : 1702
Langues : Français (fre)

Titre :	Eve
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Armand Berton (1854-1927), Graveur
Année de publication :	Salon de 1881
Présentation :	Bon état
Format :	12 x 13 cm
Note générale :	Estampe découpée dans un livre. Dans les collections de l'INJS, nous l'avons en diapositives. Cette reproduction tirée d'une peinture (2 x 1,40 m) serait inspirée d'un d'après l'idée du poème de MILTON : "Mais, tandis que je m'applaudis de la science, si Dieu me donnait le coup de la mort ! Adam s'unirait de nouveau avec une Eve nouvelle ! Cette seule pensée me donne la mort" (MILTON, Le Paradis perdu I, IX.) Eve est nue, debout les yeux fixes, le bras gauche pendant, et s'accoude à droite sur un rocher, le menton dans la main. Ses longs cheveux roux s'épandent sur ses épaules. Deux arbres aux feuillages jaunis forment cadre autour d'elle. Au fond, un paysage montagneux, enveloppé d'un ciel bleu très vif, sur lequel se détachent ses carnations ambrées. Cette toile a été achetée par l'Etat au Salon de 1882 et est a été déposé dans les collections du musée de la Chartreuse de Douai le 28 mars 1884 avant de malheureusement disparaitre dans des circonstances qui nous sont aujourd'hui encore inconnues. Armand Berton est né à Paris le 16 septembre 1854 et mort en 1927. C'est un peintre, illustrateur et graveur français. Fils de Victor Berton, employé, et d'Anne Colas, Armand Berton est né au 9, rue du Dragon à Paris. Atteint de surdité, il est admis comme élève aux Beaux-arts de Paris le 19 mars 18723. Il suit les cours d'Alexandre Cabanel et d'Adolphe Yvon. Armand Berton expose au Salon de 1875 à 1907. Il devient membre de la Société nationale des beaux-arts en 1892 et y expose jusqu’en 1910. Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1900. Son atelier parisien se situait 60, rue Madame puis 9, rue de Bagneux. Il est aussi l'auteur d'eaux-fortes qu'il exécuta de 1905 à 19154. Notice exemplaire du catalogue du Musée universel des sourds-muets : 1709
Catégories :	Beaux-Arts Musée
Mots-clés :	Eve  Bible  Femme  Nue
En ligne :	https://webmuseo.com/ws/musenor/app/collection/record/746
Format de la ressource électronique :	Site officiel de Museonor

Eve [document graphique à deux dimensions] / Armand Berton (1854-1927), Graveur . - Salon de 1881 . -  : Bon état ; 12 x 13 cm.
Estampe découpée dans un livre. Dans les collections de l'INJS, nous l'avons en diapositives. Cette reproduction tirée d'une peinture (2 x 1,40 m) serait inspirée d'un d'après l'idée du poème de MILTON :
"Mais, tandis que je m'applaudis de la science, si Dieu me donnait le coup de la mort ! Adam s'unirait de nouveau avec une Eve nouvelle ! Cette seule pensée me donne la mort" (MILTON, Le Paradis perdu I, IX.)

Eve est nue, debout les yeux fixes, le bras gauche pendant, et s'accoude à droite sur un rocher, le menton dans la main. Ses longs cheveux roux s'épandent sur ses épaules. Deux arbres aux feuillages jaunis forment cadre autour d'elle. Au fond, un paysage montagneux, enveloppé d'un ciel bleu très vif, sur lequel se détachent ses carnations ambrées.

Cette toile a été achetée par l'Etat au Salon de 1882 et est a été déposé dans les collections du musée de la Chartreuse de Douai le 28 mars 1884 avant de malheureusement disparaitre dans des circonstances qui nous sont aujourd'hui encore inconnues.

Armand Berton est né à Paris le 16 septembre 1854 et mort en 1927. C'est un peintre, illustrateur et graveur français. Fils de Victor Berton, employé, et d'Anne Colas, Armand Berton est né au 9, rue du Dragon à Paris. Atteint de surdité, il est admis comme élève aux Beaux-arts de Paris le 19 mars 18723. Il suit les cours d'Alexandre Cabanel et d'Adolphe Yvon. Armand Berton expose au Salon de 1875 à 1907. Il devient membre de la Société nationale des beaux-arts en 1892 et y expose jusqu’en 1910. Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1900. Son atelier parisien se situait 60, rue Madame puis 9, rue de Bagneux. Il est aussi l'auteur d'eaux-fortes qu'il exécuta de 1905 à 19154.

Notice exemplaire du catalogue du Musée universel des sourds-muets : 1709

Catégories :	Beaux-Arts Musée
Mots-clés :	Eve  Bible  Femme  Nue
En ligne :	https://webmuseo.com/ws/musenor/app/collection/record/746
Format de la ressource électronique :	Site officiel de Museonor

Titre :	Le matin à Arromanches
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Olivier Chéron (1854 - 1930),
Année de publication :	1887
Présentation :	Couleur
Format :	60,5 x 90 cm
Note générale :	Huile sur toile d'un matin à Arromanches dans le Calvados. Notice exemplaire du catalogue du Musée universel des sourds-muets : 1887
Catégories :	Beaux-Arts Musée

Le matin à Arromanches [document graphique à deux dimensions] / Olivier Chéron (1854 - 1930),  . - 1887 . -  : Couleur ; 60,5 x 90 cm.
Huile sur toile d'un matin à Arromanches dans le Calvados.

Notice exemplaire du catalogue du Musée universel des sourds-muets : 1887

Catégories :

Beaux-Arts Musée

Titre :	Ruines de la Cour des comptes
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Olivier Chéron (1854 - 1930), Graveur
Année de publication :	1894
Présentation :	Mauvais état
Format :	75 x 100 cm (diptyque), 41 x 31 cm (l'une)
Note générale :	Diptyque de gravures en noir et blanc de la cour des comptes en ruines. Sortie des dédales de l’Île de la Cité pour s’installer sur les rives de la Seine dans un luxueux palais florentin, la Cour des comptes, dont Napoléon avait décidé la renaissance, y gagna en lisibilité urbaine et en moyens matériels. Le rôle qu’elle remplit dans la vie publique du Second Empire s’explique sans doute par cette situation nouvelle. Du coup, la Commune la rangea parmi ces « grands corps » (Louise Michel) dont la destruction permettrait le passage à l’utopie d’un monde nouveau : le Palais fut incendié en 1871 parmi d’autres symboles de l’État. Seulement, à la différence de l’Hôtel de Ville, du Louvre, du Palais de Justice et l’hôtel de Salm, il ne fut pas reconstruit ; pas plus que l’ancien palais des Tuileries. La République hésita longuement puis vendit le terrain et les ruines à la compagnie des chemins de fer d’Orléans : ainsi fut édifiée la gare d’Orsay. La Cour des comptes, quant à elle, fut réinstallée dans les vestiges d’un ancien couvent de la rue Cambon. Seulement, durant cette période d'hésitation quant à la reconstruction du bâtiment, ces ruines ont occupé le paysage parisien pendant près de 25 ans et ont nourri une bibliographie importante. Camille Flammarion l’appelait « la forêt vierge de la Cour des comptes » car une végétation spontanée y prospéra rapidement.
Catégories :	Beaux-Arts Musée
Mots-clés :	Ruine  Cour  des  Comptes  Orsay  Gare  Palais  Végétation
Note de contenu :	source photographie sur les ruines : https://www.parismuseescollections.paris.fr/fr/musee-carnavalet/oeuvres/ruines-de-la-cour-des-comptes-au-palais-d-orsay-en-1894-7eme-arrondissement#infos-principales sources historique et plastique : https://www.ccomptes.fr/fr/cour-des-comptes/histoire-patrimoine/visite-virtuelle/le-couloir-du-2e-etage source littéraire : « La Cour des comptes au palais d'Orsay », par Jean-Michel Leniaud, directeur d’études à l’École pratique des hautes études et professeur à l’École nationale de chartes - 2021.

Ruines de la Cour des comptes [document graphique à deux dimensions] / Olivier Chéron (1854 - 1930), Graveur . - 1894 . -  : Mauvais état ; 75 x 100 cm (diptyque), 41 x 31 cm (l'une).
Diptyque de gravures en noir et blanc de la cour des comptes en ruines. Sortie des dédales de l’Île de la Cité pour s’installer sur les rives de la Seine dans un luxueux palais florentin, la Cour des comptes, dont Napoléon avait décidé la renaissance, y gagna en lisibilité urbaine et en moyens matériels. Le rôle qu’elle remplit dans la vie publique du Second Empire s’explique sans doute par cette situation nouvelle. Du coup, la Commune la rangea parmi ces « grands corps » (Louise Michel) dont la destruction permettrait le passage à l’utopie d’un monde nouveau : le Palais fut incendié en 1871 parmi d’autres symboles de l’État. Seulement, à la différence de l’Hôtel de Ville, du Louvre, du Palais de Justice et l’hôtel de Salm, il ne fut pas reconstruit ; pas plus que l’ancien palais des Tuileries. La République hésita longuement puis vendit le terrain et les ruines à la compagnie des chemins de fer d’Orléans : ainsi fut édifiée la gare d’Orsay. La Cour des comptes, quant à elle, fut réinstallée dans les vestiges d’un ancien couvent de la rue Cambon. Seulement, durant cette période d'hésitation quant à la reconstruction du bâtiment, ces ruines ont occupé le paysage parisien pendant près de 25 ans et ont nourri une bibliographie importante. Camille Flammarion l’appelait « la forêt vierge de la Cour des comptes » car une végétation spontanée y prospéra rapidement.

Catégories :	Beaux-Arts Musée
Mots-clés :	Ruine  Cour  des  Comptes  Orsay  Gare  Palais  Végétation
Note de contenu :	source photographie sur les ruines : https://www.parismuseescollections.paris.fr/fr/musee-carnavalet/oeuvres/ruines-de-la-cour-des-comptes-au-palais-d-orsay-en-1894-7eme-arrondissement#infos-principales sources historique et plastique : https://www.ccomptes.fr/fr/cour-des-comptes/histoire-patrimoine/visite-virtuelle/le-couloir-du-2e-etage source littéraire : « La Cour des comptes au palais d'Orsay », par Jean-Michel Leniaud, directeur d’études à l’École pratique des hautes études et professeur à l’École nationale de chartes - 2021.

Titre :	Mort de l'abbé de l'Epée : Panneau décoratif Louis XVI
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Antoine-Joseph Cochefer (1849-1923), Graveur
Année de publication :	1912
Présentation :	Noir et blanc
Format :	38,4 x 30 cm
Note générale :	Lithographie en noir et blanc. Panneau décoratif Louis XVI avec support cartonné. On trouve cette lithographie à l'entrée de l'exposition des artistes sourds de 1912 tout de suite à gauche. Au niveau de l'iconographie, on trouve un abbé de l'Epée éploré en train de tomber alors que son bras se lève vers le ciel. Les deux jumelles sont à ses côtés, l'une en train de prier vers le ciel tandis que l'autre se cache le visage pour pleurer. Un troisième enfant est là agenouillé et lui attrape l'épaule gauche. Plusieurs objets disproportionnés jonchent le sol : des livres, une palette de peinture, des documents, une palme, une plume et un encrier. Un ange est au-dessus d'eux. Il s'apprête à poser une couronne de laurier afin de récompenser l'abbé pour son entreprise, et de son autre main il indique par son index la direction du ciel. En arrière-plan, on peut lire sur un arc de triomphe à l'antique avec des colonnes corinthiennes : "La patrie reconnaissante / Convention Nationale 1795" L'arc possède trois arches : à droite, des cavaliers au galop avec des hommes à terre font peut-être référence à la colère qui gronde au moment de la mort de l'abbé en 1789. De l'autre, une ville dénuée de toute figuration humaine, dont la ponte d'une architecture s'élève vers le ciel. Au centre, la plus grande arche accueille une colline d'où jaillit une lumière iridescente qui éclaire tout le tableau.
Langues :	Français (fre)
Catégories :	Abbé de l'Epée Musée
Mots-clés :	Mort  Abbé  Epée  Mérite

Mort de l'abbé de l'Epée : Panneau décoratif Louis XVI [document graphique à deux dimensions] / Antoine-Joseph Cochefer (1849-1923), Graveur . - 1912 . -  : Noir et blanc ; 38,4 x 30 cm.
Lithographie en noir et blanc. Panneau décoratif Louis XVI avec support cartonné. On trouve cette lithographie à l'entrée de l'exposition des artistes sourds de 1912 tout de suite à gauche. Au niveau de l'iconographie, on trouve un abbé de l'Epée éploré en train de tomber alors que son bras se lève vers le ciel. Les deux jumelles sont à ses côtés, l'une en train de prier vers le ciel tandis que l'autre se cache le visage pour pleurer. Un troisième enfant est là agenouillé et lui attrape l'épaule gauche. Plusieurs objets disproportionnés jonchent le sol : des livres, une palette de peinture, des documents, une palme, une plume et un encrier. Un ange est au-dessus d'eux. Il s'apprête à poser une couronne de laurier afin de récompenser l'abbé pour son entreprise, et de son autre main il indique par son index la direction du ciel. En arrière-plan, on peut lire sur un arc de triomphe à l'antique avec des colonnes corinthiennes : "La patrie reconnaissante / Convention Nationale 1795" L'arc possède trois arches : à droite, des cavaliers au galop avec des hommes à terre font peut-être référence à la colère qui gronde au moment de la mort de l'abbé en 1789. De l'autre, une ville dénuée de toute figuration humaine, dont la ponte d'une architecture s'élève vers le ciel. Au centre, la plus grande arche accueille une colline d'où jaillit une lumière iridescente qui éclaire tout le tableau.


Langues : Français (fre)

Catégories :	Abbé de l'Epée Musée
Mots-clés :	Mort  Abbé  Epée  Mérite

Titre :	Hermès emmenant Eurydice aux Enfers
Titre original :	Orphée et Eurydice
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Martin, Félix (1844-1916), Auteur
Note générale :	"Orphée est le fils de la muse Calliope, muse de l’éloquence et de la Poésie et du roi de Thrace Oeagre. Soupçonné d’être en fait le fils d’Apollon qui en fait son élève, il montre dès son enfance de grandes dispositions pour la musique et la poésie. Ainsi Apollon lui offre une lyre à sept cordes, conçue par Hermès, à laquelle il rajoute deux cordes en l’honneur des muses. Héros antique, il charme rochers et arbres qui se déplacent pour l’écouter, attendrit les bêtes les plus féroces et les monstres, et les hommes les plus durs retrouvent la douceur de l’enfance en l’écoutant. En revenant d’une longue expédition au côté des Argonautes, il rencontre Eurydice, une dryade, dont il tombe éperdument amoureux. Déesse de la forêt elle incarne de manière douce la force des arbres et particulièrement des chênes. Orphée et Eurydice se marient, mais mauvais augure, lors de leur mariage, le chant d’Hyménée le Dieu du Mariage est triste et sans joie et la torche qu’il brandit est faible et de couleur ocre, autant de mauvais présages qui font pleurer les invités. Eurydice part tous les matins se baigner dans le fleuve en compagnie des naïades. Un berger fruste du nom d’Aristée dont elle refuse les avances, l’épie depuis plusieurs jours et finit par les pourchasser. Toutes s’enfuient, mais Eurydice marche sur un serpent mortel. Elle meurt instantanément. Orphée, fou de désespoir et de chagrin, se rend à la porte des enfers, en Laconie, dans l’espoir de ramener Eurydice. Il descend courageusement dans les profondeurs, et charme, avec sa musique plaintive et lancinante, le passeur Charon, le chien à trois têtes Cerbère, les trois juges des morts, les Euménides. Hadès, l’impitoyable Dieu des Morts l’autorise alors à ramener sa bien-aimée dans le royaume des vivants, à la seule condition qu’Orphée ne se retourne pas tant qu’elle n’a pas atteint la rive des vivants et la lumière du soleil. Eurydice le suit, dans la pénombre, au son de sa lyre, mais lorsqu’il arrive près du but, Orphée, pris de doutes, n’entendant plus de bruit, se retourne, la perdant ainsi à jamais dans un dernier cri. Accablé de douleur, Orphée tente de redescendre aux enfers, mais son épouse est bien morte et ne reviendra jamais." Dans notre sculpture, on trouve bien la fameuse lyre que tient le personnage agenouillé à droite sur la photo, qui n'est autre qu'Orphée lui-même. Sortant du cadre de l'instrument, la gueule ouverte apparait Cerbère, le chien à trois têtes, qui sera charmé par la musique d'Orphée. On assiste ici à la scène où Hermès emporte le corps sans vie d'Eurydice aux enfers, ce qu'on appelle en iconographie "psychopompe" autrement dit, conducteur des âmes des morts. On reconnait ce dernier grâce à son caducée et son pétase (casque ailé). Sans doute que si l'on avait accès à cette sculpture, nous pourrions également découvrir des ailettes au niveau de ses chevilles. Il s'agit d'une iconographie assez ancienne puisqu'on en trouve une représentation sur un bas-relief daté du Ve siècle av. J.-C. et conservé au Louvre. Cette sculpture est aujourd'hui perdue, mais nous en connaissons une autre datée à peu près de cette période représentant la même iconographie. Il s'agit de "Mercure emportant Eurydice aux enfers" de Charles Lenoir (1844 - 1899) réalisé en 1890 à Rennes. Dans le catalogue du musée universel des sourds-muets de Théophile Denis en 1897, on trouve le titre "Orphée et Eurydice" portant le n° d'inventaire 1940.
Catégories :	Arts Musée
Mots-clés :	Mythologie  Hermès  Eurydice  Orphée  Enfers  Cerbère  Charon  Mort  Musique
Note de contenu :	source mythe : https://www.histoire-amour.com/mythologie/eurydice-orphee.html source bas-relief Louvre : https://art.rmngp.fr/fr/library/artworks/relief-adieux-d-orphee-a-eurydice-qu-hermes-s-apprete-a-ramener-aux-enfers_relief-sculpture_marbre source Charles Lenoir : https://anosgrandshommes.musee-orsay.fr/index.php/Detail/objects/2320

Hermès emmenant Eurydice aux Enfers = Orphée et Eurydice [document graphique à deux dimensions] / Martin, Félix (1844-1916), Auteur . - [s.d.].
"Orphée est le fils de la muse Calliope, muse de l’éloquence et de la Poésie et du roi de Thrace Oeagre. Soupçonné d’être en fait le fils d’Apollon qui en fait son élève, il montre dès son enfance de grandes dispositions pour la musique et la poésie. Ainsi Apollon lui offre une lyre à sept cordes, conçue par Hermès, à laquelle il rajoute deux cordes en l’honneur des muses. Héros antique, il charme rochers et arbres qui se déplacent pour l’écouter, attendrit les bêtes les plus féroces et les monstres, et les hommes les plus durs retrouvent la douceur de l’enfance en l’écoutant. En revenant d’une longue expédition au côté des Argonautes, il rencontre Eurydice, une dryade, dont il tombe éperdument amoureux. Déesse de la forêt elle incarne de manière douce la force des arbres et particulièrement des chênes. Orphée et Eurydice se marient, mais mauvais augure, lors de leur mariage, le chant d’Hyménée le Dieu du Mariage est triste et sans joie et la torche qu’il brandit est faible et de couleur ocre, autant de mauvais présages qui font pleurer les invités. Eurydice part tous les matins se baigner dans le fleuve en compagnie des naïades. Un berger fruste du nom d’Aristée dont elle refuse les avances, l’épie depuis plusieurs jours et finit par les pourchasser. Toutes s’enfuient, mais Eurydice marche sur un serpent mortel. Elle meurt instantanément. Orphée, fou de désespoir et de chagrin, se rend à la porte des enfers, en Laconie, dans l’espoir de ramener Eurydice. Il descend courageusement dans les profondeurs, et charme, avec sa musique plaintive et lancinante, le passeur Charon, le chien à trois têtes Cerbère, les trois juges des morts, les Euménides. Hadès, l’impitoyable Dieu des Morts l’autorise alors à ramener sa bien-aimée dans le royaume des vivants, à la seule condition qu’Orphée ne se retourne pas tant qu’elle n’a pas atteint la rive des vivants et la lumière du soleil. Eurydice le suit, dans la pénombre, au son de sa lyre, mais lorsqu’il arrive près du but, Orphée, pris de doutes, n’entendant plus de bruit, se retourne, la perdant ainsi à jamais dans un dernier cri. Accablé de douleur, Orphée tente de redescendre aux enfers, mais son épouse est bien morte et ne reviendra jamais."

Dans notre sculpture, on trouve bien la fameuse lyre que tient le personnage agenouillé à droite sur la photo, qui n'est autre qu'Orphée lui-même. Sortant du cadre de l'instrument, la gueule ouverte apparait Cerbère, le chien à trois têtes, qui sera charmé par la musique d'Orphée. On assiste ici à la scène où Hermès emporte le corps sans vie d'Eurydice aux enfers, ce qu'on appelle en iconographie "psychopompe" autrement dit, conducteur des âmes des morts. On reconnait ce dernier grâce à son caducée et son pétase (casque ailé). Sans doute que si l'on avait accès à cette sculpture, nous pourrions également découvrir des ailettes au niveau de ses chevilles.

Il s'agit d'une iconographie assez ancienne puisqu'on en trouve une représentation sur un bas-relief daté du Ve siècle av. J.-C. et conservé au Louvre. Cette sculpture est aujourd'hui perdue, mais nous en connaissons une autre datée à peu près de cette période représentant la même iconographie. Il s'agit de "Mercure emportant Eurydice aux enfers" de Charles Lenoir (1844 - 1899) réalisé en 1890 à Rennes.

Dans le catalogue du musée universel des sourds-muets de Théophile Denis en 1897, on trouve le titre "Orphée et Eurydice" portant le n° d'inventaire 1940.

Catégories :	Arts Musée
Mots-clés :	Mythologie  Hermès  Eurydice  Orphée  Enfers  Cerbère  Charon  Mort  Musique
Note de contenu :	source mythe : https://www.histoire-amour.com/mythologie/eurydice-orphee.html source bas-relief Louvre : https://art.rmngp.fr/fr/library/artworks/relief-adieux-d-orphee-a-eurydice-qu-hermes-s-apprete-a-ramener-aux-enfers_relief-sculpture_marbre source Charles Lenoir : https://anosgrandshommes.musee-orsay.fr/index.php/Detail/objects/2320

Titre :	Buste de Lanneau
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Alphonse Lanneau (de) (1796-1881), Personne honorée
Présentation :	Noir et blanc
Format :	16,4 x 11,9 cm
Note générale :	Photographie en noir et blanc d'une sculpture en plâtre. La personne représentée est un ancien directeur de l'Institution (1838-1848).
Catégories :	Arts Musée
Mots-clés :	Buste  Portrait

Buste de Lanneau [document graphique à deux dimensions] / Alphonse Lanneau (de) (1796-1881), Personne honorée . - [s.d.] . -  : Noir et blanc ; 16,4 x 11,9 cm.
Photographie en noir et blanc d'une sculpture en plâtre.
La personne représentée est un ancien directeur de l'Institution (1838-1848).

Catégories :	Arts Musée
Mots-clés :	Buste  Portrait

Titre :	Le diner
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	William Henry Hamilton Trood , Auteur
Présentation :	Noir et blanc
Format :	34,7 x 27,7 cm
Note générale :	Page d'un document séparé de son ensemble. Cette page contient une reproduction en noir et blanc du tableau intitulé "Le Dîner" de W.H. Trood représentant de petits chiots, chatons et canetons affairés autour d'une grande gamelle de lait. Sous la reproduction, on trouve un commentaire du tableau de quelques lignes en français. L'ensemble est publié avec l'autorisation de la Berlin Photographie Compagnie au 14, East wenty-third Street à New York. Dans le catalogue du musée universel des sourds-muets de Théophile Denis de 1897, n° inventaire 2086.
Langues :	Français (fre)
Catégories :	Arts Faune et Flore Musée
Mots-clés :	Animaux  Canetons  Chatons  Chiots  Lait

Le diner [document graphique à deux dimensions] / William Henry Hamilton Trood , Auteur . - [s.d.] . -  : Noir et blanc ; 34,7 x 27,7 cm.
Page d'un document séparé de son ensemble. Cette page contient une reproduction en noir et blanc du tableau intitulé "Le Dîner" de W.H. Trood représentant de petits chiots, chatons et canetons affairés autour d'une grande gamelle de lait. Sous la reproduction, on trouve un commentaire du tableau de quelques lignes en français. L'ensemble est publié avec l'autorisation de la Berlin Photographie Compagnie au 14, East wenty-third Street à New York.

Dans le catalogue du musée universel des sourds-muets de Théophile Denis de 1897, n° inventaire 2086.
Langues : Français (fre)

Catégories :	Arts Faune et Flore Musée
Mots-clés :	Animaux  Canetons  Chatons  Chiots  Lait

Titre :	La chasse au nègre [de dos]
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Martin, Félix (1844-1916), Sculpteur ; Thiersault, Photographe
Présentation :	Noir et blanc
Format :	47,9 x 31, 7 cm
Note générale :	Photographie en noir et blanc d'une sculpture en marbre de Félix Martin. Elle représente un homme noir en train de se faire mordre par un chien au niveau de la jugulaire. Elle est conservée au musée d'Evreux et date de 1873. Elle semble être prise en studio car on est face à un fond noir, non pas comme l'autre photographie que nous possédons, prise de face, à l'intérieur du musée universel. Dans l'angle inférieur droit, on trouve la mention "Félix Martin. Statuaire". On retrouve sa mention p. 57 dans le catalogue du musée universel des sourds-muets de 1897 au n° d'inventaire 1938. On la voit d'ailleurs dans une photographie d'archive du musée à droite de la table centrale.
Langues :	Français (fre)
Catégories :	Institut national de jeunes sourds Musée
Mots-clés :	Musée  Théophile  Denis  Sculpture  Marbre
Résumé :	Lien vers une vidéo concernant la sculpture : https://www.dailymotion.com/video/x3xjool
En ligne :	https://www.dailymotion.com/video/x3xjool

La chasse au nègre [de dos] [document graphique à deux dimensions] / Martin, Félix (1844-1916), Sculpteur ; Thiersault, Photographe . - [s.d.] . -  : Noir et blanc ; 47,9 x 31, 7 cm.
Photographie en noir et blanc d'une sculpture en marbre de Félix Martin. Elle représente un homme noir en train de se faire mordre par un chien au niveau de la jugulaire. Elle est conservée au musée d'Evreux et date de 1873. Elle semble être prise en studio car on est face à un fond noir, non pas comme l'autre photographie que nous possédons, prise de face, à l'intérieur du musée universel. Dans l'angle inférieur droit, on trouve la mention "Félix Martin. Statuaire".
On retrouve sa mention p. 57 dans le catalogue du musée universel des sourds-muets de 1897 au n° d'inventaire 1938. On la voit d'ailleurs dans une photographie d'archive du musée à droite de la table centrale.
Langues : Français (fre)

Catégories :	Institut national de jeunes sourds Musée
Mots-clés :	Musée  Théophile  Denis  Sculpture  Marbre
Résumé :	Lien vers une vidéo concernant la sculpture : https://www.dailymotion.com/video/x3xjool
En ligne :	https://www.dailymotion.com/video/x3xjool

Titre :	Scène de tauromachie
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Aimé Nicolas Morot (1850 - 1913) , Artiste
Présentation :	Mauvais état
Format :	33 x 44,5 cm
Note générale :	Gravure en noir et blanc d'une tauromachie d'un tableau d'Aimé Morot de 1885. La gravure elle n'est pas datée. Elle est signée à la main au crayon gris par Léon Lambert. On reconnait sa signature en comparant avec d'autres œuvres signées de l'artiste. Cette œuvre représente un taureau noir portant sur son dos un cheval blanc mort, totalement déharnaché par la charge qu'il vient de recevoir. Alors qu'un toréro est encore sur son cheval de dos, d'autres tauréadors à l'arrière-plan à gauche sont en train d'évacuer un toréro inconscient. Les gradins dans le fond sont remplis d'un public dont on ne distingue que les silhouettes.
Catégories :	Beaux-Arts Musée
Mots-clés :	Tauromachie  Taureau  Toréador  Toréro  Arène  Foule  Public  Cheval  Mort

Scène de tauromachie [document graphique à deux dimensions] / Aimé Nicolas Morot (1850 - 1913) , Artiste . - [s.d.] . -  : Mauvais état ; 33 x 44,5 cm.
Gravure en noir et blanc d'une tauromachie d'un tableau d'Aimé Morot de 1885. La gravure elle n'est pas datée. Elle est signée à la main au crayon gris par Léon Lambert. On reconnait sa signature en comparant avec d'autres œuvres signées de l'artiste. Cette œuvre représente un taureau noir portant sur son dos un cheval blanc mort, totalement déharnaché par la charge qu'il vient de recevoir. Alors qu'un toréro est encore sur son cheval de dos, d'autres tauréadors à l'arrière-plan à gauche sont en train d'évacuer un toréro inconscient. Les gradins dans le fond sont remplis d'un public dont on ne distingue que les silhouettes.

Catégories :	Beaux-Arts Musée
Mots-clés :	Tauromachie  Taureau  Toréador  Toréro  Arène  Foule  Public  Cheval  Mort

Titre :	Boeufs nivernais
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Auguste Colas (1816-1856), Graveur
Format :	38 x 51 cm
Note générale :	Lithographie en noir et blanc, représentant des bœufs nivernais. Dans le catalogue universel des sourds-muets de Théophile Denis, 1897 on le trouve au n° d'inventaire 1767.

Boeufs nivernais [document graphique à deux dimensions] / Auguste Colas (1816-1856), Graveur . - [s.d.] . -  ; 38 x 51 cm.
Lithographie en noir et blanc, représentant des bœufs nivernais.

Dans le catalogue universel des sourds-muets de Théophile Denis, 1897 on le trouve au n° d'inventaire 1767.

Titre :	Une cour de village nivernais
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Auguste Colas (1816-1856),
Présentation :	Assez bon état
Format :	43 x 55 cm
Note générale :	Gravure en noir et blanc Représentation de deux femmes avec des volailles, entourées de chaumières, à la campagne. N° d'inventaire 1763 du catalogue du musée universel des sourds-muets de Théophile Denis, 1797. Râtelier M-1

Une cour de village nivernais [document graphique à deux dimensions] / Auguste Colas (1816-1856),  . - [s.d.] . -  : Assez bon état ; 43 x 55 cm.
Gravure en noir et blanc
Représentation de deux femmes avec des volailles, entourées de chaumières, à la campagne.
N° d'inventaire 1763 du catalogue du musée universel des sourds-muets de Théophile Denis, 1797.

Râtelier M-1

Titre :	Le Beuvron
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Auguste Colas (1816-1856),
Année de publication :	1894
Présentation :	Mauvais état
Format :	33 x 24,5 cm
Note générale :	Huile sur toile représentant une rivière entre deux maisons. D'après le catalogue universel des sourds-muets de Théophile Denis, 1897, il s'agirait du n° d'inventaire 1771. Râtelier M-1

Le Beuvron [document graphique à deux dimensions] / Auguste Colas (1816-1856),  . - 1894 . -  : Mauvais état ; 33 x 24,5 cm.
Huile sur toile représentant une rivière entre deux maisons. D'après le catalogue universel des sourds-muets de Théophile Denis, 1897, il s'agirait du n° d'inventaire 1771.

Râtelier M-1

Titre :	Neptune et Amphitrite : Mosaïque trouvée à Constante (Algérie) Restaurée par Claude Wallon sourd-muet (musée du Louvre)
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Claude Augustin Wallon (1790-1857), Graveur
Présentation :	Mauvais état
Format :	46,6 x 28,3 cm
Note générale :	Dessin en couleur d'une reproduction d'une ancienne mosaïque en calcaire, marbre et pâte de verre retrouvée à Constantine (Algérie) présentée au musée du Louvre et datée du IVe siècle. Neptune est nu, nimbé, porte un manteau sur son bras gauche tandis que sa main tient le trident. Amphitrite est également nue et nimbée. Un léger voile couvre ses jambes mais laisse son pubis à découvert. Elle porte des bijoux au niveau des bras, de la chevelure et du cou. Ils se tiennent tous deux sur un quadrige de chevaux marins cabrés. En partie supérieure deux Amours nimbés tiennent un voile rouge qui passe derrière les nimbes du couple divin. En partie inférieure, on trouve une scène de navigation avec de nombreux détails du registre marin (poisson, poulpe, coquillage, seiche). Deux Amours aptères (sans aile) chevauchent des dauphins. Cette reproduction laisse apparaître les parties abimées précédemment. D'après le sous-titre écrit à la plume, cette mosaïque aurait été restaurée par Wallon lui-même. Dans le catalogue universel des sourds-muets de Théophile Denis, 1897, on retrouve cette lithographie au n° d'inventaire 2094.
Langues :	Français (fre)
Catégories :	Beaux-Arts Musée
Mots-clés :	Mythologie  Mer  Océan  Bateau  Pêche  Dieu  Déesse  Chevaux  Amour
Note de contenu :	source (originale, Louvre) : https://collections.louvre.fr/en/ark:/53355/cl010303132 source (mythologie) : https://mythologica.fr/grec/amphitrite.htm

Neptune et Amphitrite : Mosaïque trouvée à Constante (Algérie) Restaurée par Claude Wallon sourd-muet (musée du Louvre) [document graphique à deux dimensions] / Claude Augustin Wallon (1790-1857), Graveur . - [s.d.] . -  : Mauvais état ; 46,6 x 28,3 cm.
Dessin en couleur d'une reproduction d'une ancienne mosaïque en calcaire, marbre et pâte de verre retrouvée à Constantine (Algérie) présentée au musée du Louvre et datée du IVe siècle. Neptune est nu, nimbé, porte un manteau sur son bras gauche tandis que sa main tient le trident. Amphitrite est également nue et nimbée. Un léger voile couvre ses jambes mais laisse son pubis à découvert. Elle porte des bijoux au niveau des bras, de la chevelure et du cou. Ils se tiennent tous deux sur un quadrige de chevaux marins cabrés. En partie supérieure deux Amours nimbés tiennent un voile rouge qui passe derrière les nimbes du couple divin. En partie inférieure, on trouve une scène de navigation avec de nombreux détails du registre marin (poisson, poulpe, coquillage, seiche). Deux Amours aptères (sans aile) chevauchent des dauphins.
Cette reproduction laisse apparaître les parties abimées précédemment. D'après le sous-titre écrit à la plume, cette mosaïque aurait été restaurée par Wallon lui-même.

Dans le catalogue universel des sourds-muets de Théophile Denis, 1897, on retrouve cette lithographie au n° d'inventaire 2094.

Langues : Français (fre)

Catégories :	Beaux-Arts Musée
Mots-clés :	Mythologie  Mer  Océan  Bateau  Pêche  Dieu  Déesse  Chevaux  Amour
Note de contenu :	source (originale, Louvre) : https://collections.louvre.fr/en/ark:/53355/cl010303132 source (mythologie) : https://mythologica.fr/grec/amphitrite.htm