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Accompagne ![]() Photographie d'une lithographie en noir et blanc réalisée par J. Bouchet et gravée par Jean Ollivier. Vue du cloître avec un moine consultant un livre au premier plan. Dans la partie droite deux moines sont en train d'échanger autour d'un bassin. A l'arrière plan, au fond de la galerie, on distingue deux moines. En ce qui concerne l'architecture, les colonnes sont doubles au niveau du bassin et simple le long de la galerie. Elles sont chacune surmontée d'un chapiteau corinthien et d'une frise de trygliphes et de métopes à l'antique. Les plafonds sont ornés de moulures faites de quatre médaillons et cinq carrés. La partie gauche de la galerie est un mur aveugle alors que les colonnes ouvrent sur un jardin. On peut trouver cette illustration dans l'ouvrage d'Albert Babeau "Paris en 1789". Le plan général du couvent présente l'église, le cloître, le couvent et les jardins en vue de dessus. Sont également indiqués, l'Arsenal, le pont Grammont aujourd'hui détruit, et l'ancienne île Louvier (sic). Nous en avons un exemplaire, voir notice 12019. Un autre exemplaire de cette planche est conservé aujourd'hui au musée Carnavalet. Langues : Français (fre)
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Accompagne ![]() Plan du Quartier de l'Arsenal, de l'île Louviers, des quai des Célestins et quai Morland et de la caserne des Célestins. Après la dissolution de l'ordre des Célestins en 1779, les bâtiments de l'ancien couvent qu'ils occupaient jusque-là restèrent inoccupés jusqu'à la Révolution en 1791, année durant laquelle les gardes nationaux, destinés à remplacer le guet du roi qui avait été licencié, s'y installèrent durant quelques mois. L’institution des sourds-muets de l’abbé Sicard s'y installa la même année, de même que celle des aveugles de Valentin Haüy. En 1795, un quartier de cavalerie prit le relais de la fondation Haüy, suivi en 1802 par la légion de gendarmerie d'élite, réservée à la garde des consuls. Le quartier de cavalerie fut doublé, en 1840, par une caserne, dite « du Petit-Musc » construite pour abriter les 1 400 hommes affectés à la garde de la capitale. Ce casernement fut scindé en deux par le percement du boulevard Henri-IV, achevé en 1871. Ainsi, à l'est du boulevard, du côté du port de l'Arsenal, se trouvait la « caserne des Célestins » proprement dite, tandis que sur côté opposé, à l'ouest, se situait la « caserne du Petit-Musc » Langues : Français (fre)
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Exemplaires(1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Localisation CDI | Disponibilité |
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13290 | M-1 HAC | Photo | Musée | Musée | 13290 | Exclu du prêt |
Célestins [original] : Vue du Cloitre / Plan général du Couvent [document graphique à deux dimensions] / Emile Ollivier (1800 - 1864)
![]() Estampe en noir et blanc réalisée par J. Bouchet et gravée par Jean Ollivier. Vue du cloître avec un moine consultant un livre au premier plan. Dans la partie droite deux moines sont en train d'échanger autour d'un bassin. A l'arrière plan, au fond de la galerie, on distingue deux moines. En ce qui concerne l'architecture, les colonnes sont doubles au niveau du bassin et simple le long de la galerie. Elles sont chacune surmontée d'un chapiteau corinthien et d'une frise de triglyphes et de métopes à l'antique. Les plafonds sont ornés de moulures faites de quatre médaillons et cinq carrés. La partie gauche de la galerie est un mur aveugle alors que les colonnes ouvrent sur un jardin. On peut trouver cette illustration dans l'ouvrage d'Albert Babeau "Paris en 1789". Le plan général du couvent présente l'église, le cloître, le couvent et les jardins en vue de dessus. Sont également indiqués, l'Arsenal, le pont Grammont aujourd'hui détruit, et l'ancienne île Louvier (sic). Le musée Carnavalet en possède un exemple. Pour reproduction photographique, 13289. Langues : Français (fre)
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Exemplaires(1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Localisation CDI | Disponibilité |
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12019 | M-230-LEN | Gravure | Musée | Musée | 12019 | Exclu du prêt |
Documents numériques
![]() Couvent des Célestins Image Jpeg |
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Accompagne ![]() Plan du Quartier de l'Arsenal, de l'île Louviers, des quai des Célestins et quai Morland et de la caserne des Célestins. Après la dissolution de l'ordre des Célestins en 1779, les bâtiments de l'ancien couvent qu'ils occupaient jusque-là restèrent inoccupés jusqu'à la Révolution en 1791, année durant laquelle les gardes nationaux, destinés à remplacer le guet du roi qui avait été licencié, s'y installèrent durant quelques mois. L’institution des sourds-muets de l’abbé Sicard s'y installa la même année, de même que celle des aveugles de Valentin Haüy. En 1795, un quartier de cavalerie prit le relais de la fondation Haüy, suivi en 1802 par la légion de gendarmerie d'élite, réservée à la garde des consuls. Le quartier de cavalerie fut doublé, en 1840, par une caserne, dite « du Petit-Musc » construite pour abriter les 1 400 hommes affectés à la garde de la capitale. Ce casernement fut scindé en deux par le percement du boulevard Henri-IV, achevé en 1871. Ainsi, à l'est du boulevard, du côté du port de l'Arsenal, se trouvait la « caserne des Célestins » proprement dite, tandis que sur côté opposé, à l'ouest, se situait la « caserne du Petit-Musc » Langues : Français (fre)
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Exemplaires(1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Localisation CDI | Disponibilité |
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13290 | M-1 HAC | Photo | Musée | Musée | 13290 | Exclu du prêt |
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Accompagne ![]() Plan du Quartier de l'Arsenal, de l'île Louviers, des quai des Célestins et quai Morland et de la caserne des Célestins. Après la dissolution de l'ordre des Célestins en 1779, les bâtiments de l'ancien couvent qu'ils occupaient jusque-là restèrent inoccupés jusqu'à la Révolution en 1791, année durant laquelle les gardes nationaux, destinés à remplacer le guet du roi qui avait été licencié, s'y installèrent durant quelques mois. L’institution des sourds-muets de l’abbé Sicard s'y installa la même année, de même que celle des aveugles de Valentin Haüy. En 1795, un quartier de cavalerie prit le relais de la fondation Haüy, suivi en 1802 par la légion de gendarmerie d'élite, réservée à la garde des consuls. Le quartier de cavalerie fut doublé, en 1840, par une caserne, dite « du Petit-Musc » construite pour abriter les 1 400 hommes affectés à la garde de la capitale. Ce casernement fut scindé en deux par le percement du boulevard Henri-IV, achevé en 1871. Ainsi, à l'est du boulevard, du côté du port de l'Arsenal, se trouvait la « caserne des Célestins » proprement dite, tandis que sur côté opposé, à l'ouest, se situait la « caserne du Petit-Musc » Langues : Français (fre)
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Exemplaires(1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Localisation CDI | Disponibilité |
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13290 | M-1 HAC | Photo | Musée | Musée | 13290 | Exclu du prêt |
Exemplaires(1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Localisation CDI | Disponibilité |
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13289 | M-1 CEL | Photo | Musée | Musée | 13289 | Exclu du prêt |