Titre de série : |
L' Idiot de la famille, 2 |
Titre : |
L'idiot de la famille : Gustave Flaubert de 1821 à 1857 |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean-Paul Sartre (1905-1980), Auteur |
Editeur : |
[Paris] : Gallimard |
Année de publication : |
1983 |
Collection : |
Collection Tel, ISSN 0339-8560 num. 76 |
Importance : |
1 vol. (654-1464 p.) |
Format : |
19 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-07-025190-2 |
Prix : |
62 F |
Catégories : |
renvois:Roman
|
Index. décimale : |
800 Littérature (Belles lettres) |
Résumé : |
«Que peut-on savoir d'un homme aujourd'hui?» Par l'incessant mouvement de la méthode «progressive-régressive», des écrits à l'homme et de l'homme à l'histoire, L'Idiot de la famille traque Flaubert pour reconstituer en totalité compréhensible tout ce qu'on sait de lui. Loin de le réduire à l'état de pur objet d'étude, Sartre, sans indulgence mais presque amical, tourne autour de son sujet jusqu'au vertige, jusqu'au point de compréhension extrême où le biographe, comme étourdi par son propre manège, est bien près de se livrer lui-même. Et néanmoins c'est la subjectivité vivante de Gustave Flaubert que l'on sent restituée, le goût singulier de sa névrose. |
L' Idiot de la famille, 2. L'idiot de la famille : Gustave Flaubert de 1821 à 1857 [texte imprimé] / Jean-Paul Sartre (1905-1980), Auteur . - [Paris] : Gallimard, 1983 . - 1 vol. (654-1464 p.) ; 19 cm. - ( Collection Tel, ISSN 0339-8560; 76) . ISBN : 978-2-07-025190-2 : 62 F
Catégories : |
renvois:Roman
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Index. décimale : |
800 Littérature (Belles lettres) |
Résumé : |
«Que peut-on savoir d'un homme aujourd'hui?» Par l'incessant mouvement de la méthode «progressive-régressive», des écrits à l'homme et de l'homme à l'histoire, L'Idiot de la famille traque Flaubert pour reconstituer en totalité compréhensible tout ce qu'on sait de lui. Loin de le réduire à l'état de pur objet d'étude, Sartre, sans indulgence mais presque amical, tourne autour de son sujet jusqu'au vertige, jusqu'au point de compréhension extrême où le biographe, comme étourdi par son propre manège, est bien près de se livrer lui-même. Et néanmoins c'est la subjectivité vivante de Gustave Flaubert que l'on sent restituée, le goût singulier de sa névrose. |
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