Auteur Alain Kerlan
Commentaire :
ISPEF, université Lumière Lyon-2 UMR éducation et politiques, Lyon-2 INRP
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Titre : Exclus et inclus : Le droit à l'image Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Kerlan, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 38-44 Note générale : Cette contribution reprend quelques-unes des réflexions développées dans les pages d'un ouvrage d'Alain Kerlan, "La photographie comme lien social" Langues : Français (fre) Résumé : À Rio de Janeiro, l’exclusion économique et sociale se double d’une exclusion visuelle. L’image convenue des favelas la recouvre. L’inclusion visuelle que lui oppose certains photographes repose sur une idée simple : permettre aux exclus de l’image d’accéder à une visibilité maîtrisée. En leur confiant un appareil photographique, tout simplement, et en les accompagnant dans cette entreprise d’émancipation. L’autobiographie photographique des habitants des favelas, ces exclus de la ville, parle alors pour tous les exclus et toutes les exclusions de la vie. Parce qu’une image juste, pleinement juste, au-delà d’un droit à l’image, dit à la fois ce qui est, et la vraie valeur de ce qui est.
Note de contenu : L’inclusion visuelle
Le droit à l’image : droit à la différence et à la conformité
De la sociologie à l’ontologie de l’image : la trace, l’émanationEn ligne : https://www.cairn.info/revue-reliance-2007-3-page-38.htm
in Reliance > 25 (septembre 2007) . - 38-44[article] Exclus et inclus : Le droit à l'image [texte imprimé] / Alain Kerlan, Auteur . - 2007 . - 38-44.
Cette contribution reprend quelques-unes des réflexions développées dans les pages d'un ouvrage d'Alain Kerlan, "La photographie comme lien social"
Langues : Français (fre)
in Reliance > 25 (septembre 2007) . - 38-44
Résumé : À Rio de Janeiro, l’exclusion économique et sociale se double d’une exclusion visuelle. L’image convenue des favelas la recouvre. L’inclusion visuelle que lui oppose certains photographes repose sur une idée simple : permettre aux exclus de l’image d’accéder à une visibilité maîtrisée. En leur confiant un appareil photographique, tout simplement, et en les accompagnant dans cette entreprise d’émancipation. L’autobiographie photographique des habitants des favelas, ces exclus de la ville, parle alors pour tous les exclus et toutes les exclusions de la vie. Parce qu’une image juste, pleinement juste, au-delà d’un droit à l’image, dit à la fois ce qui est, et la vraie valeur de ce qui est.
Note de contenu : L’inclusion visuelle
Le droit à l’image : droit à la différence et à la conformité
De la sociologie à l’ontologie de l’image : la trace, l’émanationEn ligne : https://www.cairn.info/revue-reliance-2007-3-page-38.htm