Auteur Alain Metteau
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Médecin psychiatre
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L'admission en institution médico-sociale : des tensions inéluctables pour relier décision et consentement ? / Pierre Bonjour in Reliance, 20 ([01/09/2006])
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Titre : L'admission en institution médico-sociale : des tensions inéluctables pour relier décision et consentement ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Bonjour (1933-....), Auteur ; Alain Metteau, Auteur Année de publication : 2006 Article en page(s) : 55-62 Langues : Français (fre) Résumé : Si, depuis les lois de 1975, l’orientation dans un établissement médico-social d’un jeune en situation de handicap est prononcée par une commission mais décidée par la famille, qu’en est-il du consentement réel de cette dernière ? À partir d’exemples, Alain Metteau tente de réfléchir autour de deux questions fondamentales : d’une part, peut-il exister un consentement sans demande, sans expression d’une souffrance ? D’autre part, s’agit-il du consentement à la prise en charge globale proposée par l’établissement ou seulement du consentement partiel à telle aide, à l’exclusion des autres ? Les lois récentes cherchent à améliorer les droits des familles et à mieux évaluer le respect de ceux-ci. Mais peut-on tout évaluer ?
En ligne : https://www.cairn.info/revue-reliance-2006-2-page-55.htm
in Reliance > 20 [01/09/2006] . - 55-62[article] L'admission en institution médico-sociale : des tensions inéluctables pour relier décision et consentement ? [texte imprimé] / Pierre Bonjour (1933-....), Auteur ; Alain Metteau, Auteur . - 2006 . - 55-62.
Langues : Français (fre)
in Reliance > 20 [01/09/2006] . - 55-62
Résumé : Si, depuis les lois de 1975, l’orientation dans un établissement médico-social d’un jeune en situation de handicap est prononcée par une commission mais décidée par la famille, qu’en est-il du consentement réel de cette dernière ? À partir d’exemples, Alain Metteau tente de réfléchir autour de deux questions fondamentales : d’une part, peut-il exister un consentement sans demande, sans expression d’une souffrance ? D’autre part, s’agit-il du consentement à la prise en charge globale proposée par l’établissement ou seulement du consentement partiel à telle aide, à l’exclusion des autres ? Les lois récentes cherchent à améliorer les droits des familles et à mieux évaluer le respect de ceux-ci. Mais peut-on tout évaluer ?
En ligne : https://www.cairn.info/revue-reliance-2006-2-page-55.htm