Titre : |
Les diaboliques |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jules Barbey d'Aurevilly, Auteur |
Editeur : |
Paris : Flammarion |
Année de publication : |
1967 |
Collection : |
GF, ISSN 0768-0465 num. 149 |
Importance : |
317 p. |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-08-070149-7 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
renvois:Roman
|
Index. décimale : |
R Romans |
Résumé : |
« Dieu, le créateur de toutes les réalités, n'en défend aucune à l'artiste, pourvu que l'artiste n'en fasse pas un instrument de perdition. » Se référant à la scène sublime qui ouvre Richard III de Shakespeare, Barbey d’Aurevilly se permettra tout dans ses récits de passion et de haine. Le comte de Ravila aimait l'amour, Albertine et Hauteclaire aussi ; la comtesse de Savigny et le duc de Sierra Leone, eux, préférèrent l'honneur. Ses diables de femmes semblent échappées d'une toile de Delacroix. Le feu de l'enfer brûle ces pages mais c'est pour mieux « épouvanter les âmes pures », clame l'auteur, le jour de son procès. « Ou il faut renoncer à peindre le coeur humain, ou il faut le peindre tel qu'il est. » |
Les diaboliques [texte imprimé] / Jules Barbey d'Aurevilly, Auteur . - Paris : Flammarion, 1967 . - 317 p.. - ( GF, ISSN 0768-0465; 149) . ISBN : 978-2-08-070149-7 Langues : Français ( fre)
Catégories : |
renvois:Roman
|
Index. décimale : |
R Romans |
Résumé : |
« Dieu, le créateur de toutes les réalités, n'en défend aucune à l'artiste, pourvu que l'artiste n'en fasse pas un instrument de perdition. » Se référant à la scène sublime qui ouvre Richard III de Shakespeare, Barbey d’Aurevilly se permettra tout dans ses récits de passion et de haine. Le comte de Ravila aimait l'amour, Albertine et Hauteclaire aussi ; la comtesse de Savigny et le duc de Sierra Leone, eux, préférèrent l'honneur. Ses diables de femmes semblent échappées d'une toile de Delacroix. Le feu de l'enfer brûle ces pages mais c'est pour mieux « épouvanter les âmes pures », clame l'auteur, le jour de son procès. « Ou il faut renoncer à peindre le coeur humain, ou il faut le peindre tel qu'il est. » |
|  |