Titre : |
Lettres persanes |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Charles-Louis de Secondat Montesquieu (1689-1755), Auteur ; Jacques Roger, Annotateur |
Editeur : |
Paris : Garnier-Flammarion |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
renvois:Roman
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Index. décimale : |
800 Littérature (Belles lettres) |
Résumé : |
Les Lettres persanes est un roman épistolaire de Montesquieu rassemblant la correspondance fictive échangée entre deux voyageurs persans, Usbek et Rica, et leurs amis respectifs restés en Perse. «Rien n'a plu davantage dans les lettres persanes, que d'y trouver, sans y penser, une espèce de roman. On en voit le commencement, le progrès, la fin : les divers personnages sont placés dans une chaîne qui les lie. À mesure qu'ils font un plus long séjour en Europe, les moeurs de cette partie du monde prennent, dans leur tête, un air moins merveilleux et moins bizarre ; et ils sont plus ou moins frappés de ce bizarre et de ce merveilleux, suivant la différence de leurs caractères. Dans la forme de lettres, l'auteur s'est donné l'avantage de pouvoir joindre de la philosophie, de la politique et de la morale, à un roman ; et de lier le tout par une chaîne secrète et, en quelque façon, inconnue.» Montesquieu. |
Lettres persanes [texte imprimé] / Charles-Louis de Secondat Montesquieu (1689-1755), Auteur ; Jacques Roger, Annotateur . - Paris : Garnier-Flammarion, [s.d.]. Langues : Français ( fre)
Catégories : |
renvois:Roman
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Index. décimale : |
800 Littérature (Belles lettres) |
Résumé : |
Les Lettres persanes est un roman épistolaire de Montesquieu rassemblant la correspondance fictive échangée entre deux voyageurs persans, Usbek et Rica, et leurs amis respectifs restés en Perse. «Rien n'a plu davantage dans les lettres persanes, que d'y trouver, sans y penser, une espèce de roman. On en voit le commencement, le progrès, la fin : les divers personnages sont placés dans une chaîne qui les lie. À mesure qu'ils font un plus long séjour en Europe, les moeurs de cette partie du monde prennent, dans leur tête, un air moins merveilleux et moins bizarre ; et ils sont plus ou moins frappés de ce bizarre et de ce merveilleux, suivant la différence de leurs caractères. Dans la forme de lettres, l'auteur s'est donné l'avantage de pouvoir joindre de la philosophie, de la politique et de la morale, à un roman ; et de lier le tout par une chaîne secrète et, en quelque façon, inconnue.» Montesquieu. |
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