Auteur Pierre Burgelin
|
Documents disponibles écrits par cet auteur (2)



Titre : Du contrat social Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Jacques Rousseau (1712-1778), Auteur ; Pierre Burgelin, Annotateur Editeur : Paris : Garnier-Flammarion Importance : 187 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 11 cm Langues : Français (fre) Catégories : renvois:Roman Index. décimale : 800 Littérature (Belles lettres) Résumé : Le Contrat social a parfois été considéré comme le texte fondateur de la République française, non sans malentendus, ou à titre d'accusation de la part des opposants à la République. On s'est surtout attaché à sa théorie de la souveraineté : celle-ci appartient au peuple et non à un monarque ou à un corps particulier. Assurément, c'est chez Rousseau qu'il faut chercher les sources de la conception française de la volonté générale : contrairement aux théories politiques anglo-saxonnes, Rousseau ne considère pas la volonté générale comme la somme des volontés particulières — c'est-à-dire la volonté de tous -, mais comme ce qui procède de l'intérêt commun : « ôtez [des volontés particulières] les plus et les moins qui s'entre-détruisent, reste pour somme des différences la volonté générale ». On oublie souvent que Rousseau destinait son Contrat social à de petits États. Il s'inspirait de deux modèles, l'un antique (la cité grecque, notamment Sparte alors tenue pour démocratique), l'autre moderne (la République de Genève).
Du contrat social [texte imprimé] / Jean-Jacques Rousseau (1712-1778), Auteur ; Pierre Burgelin, Annotateur . - Paris : Garnier-Flammarion, [s.d.] . - 187 p. : couv. ill. en coul. ; 11 cm.
Langues : Français (fre)
Catégories : renvois:Roman Index. décimale : 800 Littérature (Belles lettres) Résumé : Le Contrat social a parfois été considéré comme le texte fondateur de la République française, non sans malentendus, ou à titre d'accusation de la part des opposants à la République. On s'est surtout attaché à sa théorie de la souveraineté : celle-ci appartient au peuple et non à un monarque ou à un corps particulier. Assurément, c'est chez Rousseau qu'il faut chercher les sources de la conception française de la volonté générale : contrairement aux théories politiques anglo-saxonnes, Rousseau ne considère pas la volonté générale comme la somme des volontés particulières — c'est-à-dire la volonté de tous -, mais comme ce qui procède de l'intérêt commun : « ôtez [des volontés particulières] les plus et les moins qui s'entre-détruisent, reste pour somme des différences la volonté générale ». On oublie souvent que Rousseau destinait son Contrat social à de petits États. Il s'inspirait de deux modèles, l'un antique (la cité grecque, notamment Sparte alors tenue pour démocratique), l'autre moderne (la République de Genève).
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Localisation CDI Disponibilité 007060 800 ROU Livre CDI Bordeaux Analyses littéraires 007060 Disponible
Titre : Du Contrat social Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Jacques Rousseau (1712-1778), Auteur ; Pierre Burgelin, Auteur Mention d'édition : 2e éd. Editeur : Paris : Flammarion Année de publication : 1962 Collection : Garnier Flammarion (Series) num. 94 Importance : 1 vol (187 p.) Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-08-070094-0 Catégories : renvois:Roman Index. décimale : 800 Littérature (Belles lettres) Résumé : Le Contrat social a parfois été considéré comme le texte fondateur de la République française, non sans malentendus, ou à titre d'accusation de la part des opposants à la République. On s'est surtout attaché à sa théorie de la souveraineté : celle-ci appartient au peuple et non à un monarque ou à un corps particulier. Assurément, c'est chez Rousseau qu'il faut chercher les sources de la conception française de la volonté générale : contrairement aux théories politiques anglo-saxonnes, Rousseau ne considère pas la volonté générale comme la somme des volontés particulières — c'est-à-dire la volonté de tous -, mais comme ce qui procède de l'intérêt commun : « ôtez [des volontés particulières] les plus et les moins qui s'entre-détruisent, reste pour somme des différences la volonté générale ». On oublie souvent que Rousseau destinait son Contrat social à de petits États. Il s'inspirait de deux modèles, l'un antique (la cité grecque, notamment Sparte alors tenue pour démocratique), l'autre moderne (la République de Genève).
Du Contrat social [texte imprimé] / Jean-Jacques Rousseau (1712-1778), Auteur ; Pierre Burgelin, Auteur . - 2e éd. . - Paris : Flammarion, 1962 . - 1 vol (187 p.) ; 18 cm. - (Garnier Flammarion (Series); 94) .
ISBN : 978-2-08-070094-0
Catégories : renvois:Roman Index. décimale : 800 Littérature (Belles lettres) Résumé : Le Contrat social a parfois été considéré comme le texte fondateur de la République française, non sans malentendus, ou à titre d'accusation de la part des opposants à la République. On s'est surtout attaché à sa théorie de la souveraineté : celle-ci appartient au peuple et non à un monarque ou à un corps particulier. Assurément, c'est chez Rousseau qu'il faut chercher les sources de la conception française de la volonté générale : contrairement aux théories politiques anglo-saxonnes, Rousseau ne considère pas la volonté générale comme la somme des volontés particulières — c'est-à-dire la volonté de tous -, mais comme ce qui procède de l'intérêt commun : « ôtez [des volontés particulières] les plus et les moins qui s'entre-détruisent, reste pour somme des différences la volonté générale ». On oublie souvent que Rousseau destinait son Contrat social à de petits États. Il s'inspirait de deux modèles, l'un antique (la cité grecque, notamment Sparte alors tenue pour démocratique), l'autre moderne (la République de Genève).
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Localisation CDI Disponibilité 004458 800 ROU Livre CDI Bordeaux Analyses littéraires 004458 Disponible