Titre : |
Sophie Germain : la femme cachée des mathématiques |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Sylvie Dodeller |
Mention d'édition : |
Édition spéciale non commercialisée en librairie |
Editeur : |
L'école des loisirs |
Année de publication : |
DL 2022 |
Collection : |
Supermax |
Importance : |
1 vol. (139 p.) |
Format : |
21 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-211-31522-7 |
Prix : |
2 EUR |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Littérature jeunesse
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Résumé : |
Sophie Germain est la première mathématicienne française et pourtant, très peu la connaissent. Elle découvre les mathématiques en 1789, elle a 13 ans, elle vit à Paris, au cœur des événements révolutionnaires qui la contraignent à rester cloîtrer chez elle. Parce qu’elle s’ennuie, parce qu’elle a peur, Sophie cherche un livre pour se changer les idées et tombe sur l’Histoire des mathématiques de Montucla. C’est une révélation ! Elle apprend les maths seule, en cachette, et plus tard, grâce à un pseudo masculin, elle obtient les cours de Polytechnique dont l’entrée est alors interdite aux filles. En 1816, elle devient la première femme admise aux séances de l’académie, elle découvre également une certaine catégorie de nombres premiers qui portent son nom. |
Sophie Germain : la femme cachée des mathématiques [texte imprimé] / Sylvie Dodeller . - Édition spéciale non commercialisée en librairie . - L'école des loisirs, DL 2022 . - 1 vol. (139 p.) ; 21 cm. - ( Supermax) . ISBN : 978-2-211-31522-7 : 2 EUR Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Littérature jeunesse
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Résumé : |
Sophie Germain est la première mathématicienne française et pourtant, très peu la connaissent. Elle découvre les mathématiques en 1789, elle a 13 ans, elle vit à Paris, au cœur des événements révolutionnaires qui la contraignent à rester cloîtrer chez elle. Parce qu’elle s’ennuie, parce qu’elle a peur, Sophie cherche un livre pour se changer les idées et tombe sur l’Histoire des mathématiques de Montucla. C’est une révélation ! Elle apprend les maths seule, en cachette, et plus tard, grâce à un pseudo masculin, elle obtient les cours de Polytechnique dont l’entrée est alors interdite aux filles. En 1816, elle devient la première femme admise aux séances de l’académie, elle découvre également une certaine catégorie de nombres premiers qui portent son nom. |
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